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Le blog de Bernard SARLANDIE

education

C'était donc ça ?

1 Septembre 2013, 16:04pm

Publié par Bernardoc

Assez étonnant mais Jim Dunbar, un Ecossais de 57 ans, vient d'être diagnostiqué "malade du retard chronique". Le médecin de l'hôpital Ninewells de Dundee (Ecosse) lui a même rédigé une ordonnance pour justifier son état. Depuis son plus jeune âge, le patient est incapable d'arriver à l'heure. Il raconte que ce problème a beaucoup affecté sa vie et qu'il lui a fait perdre de nombreux emplois. Selon les médecins, Jim est atteint d'un déficit cérébral qui l'empêcherait de bien gérer son temps et de s'organiser. Son trouble serait en fait similaire à celui dont souffre les personnes hyperactives ou ayant un déficit d'attention.

Et dire que j’ai pensé tant de mal de ceux qui arrivaient en retard au boulot ! C’était simplement des malades.

Lorsque j’étais CPE, j’ai émis des doutes lorsqu’une surveillante m’expliquait son retard par des problèmes d’embouteillage d’ascenseur, alors qu’il aurait été si simple de m’avouer sa maladie !

Principal-adjoint, je répondais toujours au sonore « Bonjour ! » d’une surveillante, qui me montrait ainsi qu’elle assumait ses vingt minutes quotidiennes de retard. Mais elle n’a pas compris lorsque, voulant récupérer des heures sup’, je lui ai fait remarquer qu’elle les avait déjà récupérées jour après jour. Elle ne m’a d’ailleurs jamais montré de certificat médical attestant de son état.

Principal, j’ai dû blesser certains retardataires lors de conseils d’administration, car je commençais la séance dès que le quorum était atteint, sans penser aux malades éventuels…

Et voilà que la science médicale me révèle que j’ai pu faire preuve de maltraitance ; si ça se trouve j’ai échappé de peu à ma traduction devant les instances judiciaires !

Et ce n’est pas fini…

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Il n'y a pas qu'à Dubaï...

23 Juillet 2013, 00:32am

Publié par Bernardoc

         Vous n’avez pas pu échapper à cette Norvégienne condamnée à Dubaï pour avoir été violée. La façon dont la nouvelle était présentée sous-entendait que la religion de l’émirat n’était sans doute pas étrangère à ce fait de « justice ».

         Eh bien, que lis-je dans un des deux hebdos auxquels je suis abonné ? Il arrive la même chose en France. Enfin, lorsque je parle de la France, il ne s’agit pas de la France « laïque, une et indivisible », puisque cela s’est passé dans un des départements concordataires, au sein d’une école religieuse catholique.

         Lors d’un voyage scolaire à Berlin, des jeunes filles font connaissance de jeunes élèves polonais ; la religion a donc tout pour les rapprocher. Et elle y arrive très bien puisque la rencontre se termine par la connaissance charnelle…mais non acceptée par une jeune fille. Cela s’appelle au mieux une agression sexuelle, au pire un viol.

         Bien entendu, au retour les parents font ce que leur dicte leur devoir de parents : ils portent plainte. Et l’établissement privé catholique traduit les trois élèves impliquées devant le conseil de discipline sous prétexte qu’elles avaient fait le mur. Tu parles d’un soutien psychologique pour les victimes ! Pourtant, le viol n’est plus un délit, mais un crime, et les autorités du collège Notre-Dame ont appliqué le vieux principe machiste du siècle dernier : si elle s’est fait violer, elle l’avait bien cherché !

         Merci mon dieu !

Et ce n’est pas fini…

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En défense de la police.

20 Juillet 2013, 19:32pm

Publié par Bernardoc

         Le titre a de quoi surprendre de ma part, et quelques articles plus haut ont bien dit ce que je pensais des bureaucrates méprisants, mais ô combien méprisables, lorsqu’ils se trouvent avec leur uniforme derrière un bureau et qu’ils tentent de mettre le maximum de bâtons dans les roues lorsque vous essayez de faire valoir vos droit de citoyen, tels qu’ils devraient figurer dans tous les commissariats.

         Deux incidents, un à Marseille, un en Ile de France, viennent de montrer la nécessité d’une police efficace pour faire respecter la loi républicaine, car je veux croire que l’énorme majorité des flics a la fibre républicaine (j’en connais un certain nombre).

         A Marseille, un courageux policier intervient pour assurer la tranquillité d’une famille de vacanciers : il a failli être noyé. A Trappes, un policier veut verbaliser un être humain, sans doute une femme, sous une housse la rendant anonyme, appliquant simplement la loi qui expose qu’au sein de la République Française, on avance à visage découvert. Ce fonctionnaire, au service de la population, a failli être étranglé.

         Je me suis revu vingt ans en arrière, lorsque j’affirmais aux élèves qu’à l’intérieur du collège nous étions là pour les protéger, et qu’ils n’avaient rien à craindre s’ils dénonçaient un racket, d’autant qu’à l’extérieur ce serait la police et leur parents qui les protègeraient.

         C’est pour cela que j’affirme qu’il ne faut faire preuve d’aucune mansuétude lorsque des voyous s’en prennent à des gens dont le métier est de faire respecter la loi. A la limite, qu’ils profitent de leur séjour en prison pour (ré) apprendre à lire et à écrire afin de pouvoir utiliser des arguments « civilisés » pour mettre en cause ce qu’ils considèrent comme une injustice. C’est aussi ça la laïcité.

Et ce n’est pas fini…   

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Anniversaire.

23 Juin 2013, 00:08am

Publié par Bernardoc

         L’Ordre des Palmes Académiques fut créé en 1808 par Napoléon. Il a donc fêté son bicentenaire il y a cinq ans ; nous étions au Québec pour l’occasion. Il y a cinquante ans, les membres de l’Ordre éprouvaient le besoin de se regrouper au sein d’une association ; c’est ainsi que naquit l’AMOPA, qui publie chaque trimestre une luxueuse revue culturelle. Vient donc d’être édité le n° 200 dont je vais vous livrer l’alléchant sommaire.

         Ce numéro exceptionnel va nous dérouler Un florilège de la langue française, selon sept thèmes plus ou moins récurrents dans la plupart des numéros :

-       La langue française et la francophonie, qui nous entraînera des cloches de Notre-Dame au Québec ;

-       L’Education, l’Europe et le monde francophone, qui nous fera découvrir le lycée Charles de Gaulle de Londres et nous informera sur cette belle action qu’est « Le don du livre » ;

-       L’Histoire : de la préhistoire jusqu’à La Marseillaise         , notre hymne national ;

-       L’art, notamment à travers la présentation de deux musées : le Louvre-Lens et le musée Jean COCTEAU de Menton ;

-       La science, avec un article sur la reconstruction de matière osseuse à partir de nouveaux biomatériaux ;

-       Les coups de cœur : présentations diverses des sections : Conté (l’inventeur des crayons du même nom), les Cyclades, un duc de Savoie.

-       Les livres : dans chaque numéro, et ce numéro spécial ne déroge pas à la règle, des notes de lecture sur toute une variété de livres écrits par des Amopaliens,  qui abordent les sujets les plus divers.

Bref, une très belle revue dont l’éclectisme n’entache en rien les qualités culturelle et éducative.

Et ce n’est pas fini…

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Prolongations.

18 Juin 2013, 16:29pm

Publié par Bernardoc

         Etant données les circonstances de mon départ de l’éducation nationale, je m’étais bien promis de ne plus jamais remettre les pieds dans un établissement scolaire. J’ai tenu bon trois ans (à part trois départs en retraite) et j’ai craqué la quatrième année. En fait, je n’ai fait que répondre aux sollicitations de divers collègues qui me reconnaissent quelques compétences.

         Cela a commencé par l’AROEVEN qui m’a demandé de participer à la co-animation d’ateliers d’analyse de pratiques professionnelles pour les CPE de la ZAP de Libourne. Comme l’association m’a fait l’honneur de me nommer comme membre qualifié au sein de son conseil d’administration, je pouvais difficilement leur refuser ce coup de main. Et lors du bilan de ces quatre séances, j’ai pu me rendre compte que j’étais encore capable de guider ce genre d’atelier avec profit pour les participants.

         La deuxième intervention fut lors d’une matinée « santé » au collège de Capeyron. Là mon intervention se situait dans le cadre de l’ADOSEN et c’était une animation, non pas en direction des adultes, mais des enfants, concernant l’alimentation. J’ai trouvé que j’avais de beaux restes en matière de pédagogie !

         Enfin, cet après-midi, j’accompagnais le Président de l’AMOPA au collège François Mauriac de St Médard en Jalles pour la remise de prix pour la participation au concours de défense et illustration de la langue française. Accueil chaleureux de la Principale qui avait invité les parents et la presse, montrant ainsi la volonté de valoriser l’engagement des enseignants, des élèves et de leurs familles dans des activités à l’ouverture enrichissante pour leur formation.

         Trois expériences, presque « à l’insu de mon plein gré », mais qui donnent envie de poursuivre : n’est-ce pas un des plus sûrs moyens de ne pas vieillir trop vite ?

Et ce n’est pas fini…

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Fin d'année.

17 Juin 2013, 07:18am

Publié par Bernardoc

         Intéressante chronique sur Le + du Nouvel Obs. concernant « Les dix galères de fin d’année des parents », et notamment le fameux cadeau à la maîtresse. Pendant les 18 ans où j’ai été parendélev en maternelle ou primaire, c’était une période très difficile pour moi prof, CPE ou Principal-adjoint. J’avais du mal à admettre que ces collègues enseignant(e)s que j’admirais, comme certaines le faisaient à mon égard, aient besoin de recevoir une gratification matérielle chaque mois de juin. Mais comment faire pour que nos enfants ne se sentent pas ostracisés ? Eh bien, à la fin, nous panurgions et versions notre écot à la caisse commune des parents, généralement d’ailleurs, pas des parents militants et investis dans les conseils d’école.

         Lorsque j’étais en CM2, je me souviens comment nous nous étions cotisés pour offrir à Noël un stylo à 4 couleurs – c’était un luxe à l’époque -  notre maître, René DUCOS, que Miroir du rugby avait surnommé « le grand échalas flegmatique ». Mais c’était un cadeau qui venait d’une classe qui appréciait particulièrement son maître. De même, deux ans plus tard, c’est ce qui nous avait conduit à offrir une cravate à notre prof d’anglais, M. ADDES, car nous imaginions que la vie était difficile pour lui vu qu’il n’avait pas porté plus de deux cravates au cours du trimestre !!!

         Quelquefois il m’est arrivé de recevoir des cadeaux « officiels » comme des chocolats à Noël, mais pour moi c’était la fonction et non l’homme qui était ainsi honoré, et j’en faisais bénéficier mes proches collaborateurs.

         J’ai été trop choqué en Afrique où tous les services se monnayaient pour accepter une telle dérive du service public en France. Battons-nous donc pour notre niveau de vie et d pour améliorer les conditions de travail : ce sera notre plus grande satisfaction.

Et ce n’est pas fini…

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Marques de fabrique ?

4 Juin 2013, 17:36pm

Publié par Bernardoc

         Les noms des écoles que j’ai fréquentées à différents titres ont-elles laissé leur empreinte sur l’homme que je suis devenu ?

         J’ai commencé par la maternelle St Luc puis l’école primaire St Mathieu : toutes deux écoles publiques communales de la ville de Paris : le « St » n’étant que le nom de la rue. Puis je rejoins l’ancienne école Erckmann-Chatrian, démolie puis reconstruite car elle avait souffert pendant la guerre, mais elle perdait son nom : à nouveau une école sans nom.

         J’entrai en 6ème au Lycée Jacques DECOUR, ainsi nommé en l’honneur d’un de ses professeurs d’allemand, Daniel DECOURDEMANCHE, victime de la barbarie nazie. Une fresque, peinte par M. LOP - un des profs de dessin que j’ai eu le malheur de subir en 6ème -,  lui rendant hommage, décorait tout un mur de la salle des actes.

         En 5ème, changement de décor : le Lycée Jean AICARD, à Hyères. L’œuvre la plus connue de cet auteur provençal, qui finira à l’académie française, est sans conteste Maurin des Maures, ce braconnier joli cœur qui se jouait de la maréchaussée.

         Pendant la fac de Nice (sans nom), deux séjours dans des écoles britanniques : Adams’ Grammar school, du nom d’un responsable de la guilde des merciers au XVI° siècle et, deux ans plus tard, St Cuthbert Mayne school : un prêtre catholique anglais victime de la Réforme et canonisé par Paul VI ; à rapprocher de St Joseph à Tulla en Irlande. Difficile de vivre la laïcité dans ces deux établissements.

         Deux lycées professionnels et le CETAD de BoraBora : tous trois sans nom.

         Lycées Stendhal (à Aiguillon, dans le Lot-et-Garonne) : on ne présente pas cet écrivain, puis  Camille Jullian à Bordeaux, nommé d’après un célèbre historien bordelais avant de terminer par Francisco Goya, Paul Langevin et Emile Zola : on aurait pu plus mal finir !

         Alors, ceux qui me connaissent, voyez-vous une influence ? J’espère !

Et ce n’est pas fini…

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N'importe quoi.

16 Mars 2013, 18:21pm

Publié par Bernardoc

         Il est des endroits où il est permis de dire n’importe quoi ; l’Assemblée nationale est l’un de ceux-là. En ce moment est discutée la loi PEILLON de refondation ( ?) de l’école. Un des articles vise à instaurer l’enseignement d’une langue dès le CP. Et voici ce qu’a osé dire M. MYARD, député de la droite populaire (c’est-à-dire la droite extrême de l’UMP) : « L’anglais, ça s’apprend quand on est en âge de fréquenter des petites Anglaises. »

         J’ignore si la pratique des langues anglaises - je ne parle pas de celles qui sont dans la bouche des petites Britanniques, mais de celles, reste de la colonisation, qui sont pratiquées sur les cinq continents – est une qualification acquise par ce député, mais je ne vois nulle part mentionné dans la loi qu’il est question de l’anglais. C’est un raccourci audacieux au moment où l’on nous parle de favoriser le multilinguisme.

         Il me plaît à nouveau de penser qu’un jour les langues de nos régions républicaines ne seront  plus tabou en maternelle, et qu’à l’entrée au CP tous les enfants auront accès à l’Esperanto, dont la valeur propédeutique n’est plus à démontrer et qui facilite grandement la communication entre les peuples, du fait de sa neutralité.

         Après, lorsqu’ils arriveront en 6ème, ayant déjà trois moyens de communication (langue de la région, du pays et universelle), les enfants, en partenariat avec leurs parents, pourront choisir la langue qui leur parlera peut-être le plus : portugais, norvégien, japonais, et pourquoi pas anglais…en fonction de leur situation familiale, géographique, ou de l’avenir qu’ils envisagent.

         Comme nous l’ont montré deux Anglais (outre la reine) célèbres : Tony BLAIR et Boris JOHNSON, qui s’expriment en français lorsqu’ils sont chez nous, on peut très bien se faire comprendre dans le monde en utilisant une autre langue que l’anglais.

Et ce n’est pas fini…

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Devoirs.

15 Mars 2013, 07:46am

Publié par Bernardoc

         Dans l’Humanité d’hier, seul journal à ne pas parler du pape, Catherine CHABRUN, rédactrice en chef du Nouvel éducateur (ICEM-Pédagogie Freinet), indiquait que dans la future loi Peillon « l’interdiction des devoirs à la maison est réaffirmée ». Elle rappelait aussi que ceci est interdit depuis 1956, interdiction confirmée en 1964.

         Mais alors, pourquoi le mentionner encore une fois ? Eh bien, parce que plus de 50 ans, après les textes ne sont toujours pas appliqués. Et certains parents en redemandent ! Je me souviens, lorsque j’étais parent d’élèves, comment certains parents essayaient de ruser pour que leurs rejetons aillent dans une école « sérieuse », avec suffisamment de devoirs à faire à la maison. Ce serait sûrement les parents d’aujourd’hui qui ne trouveraient que du bien à la semaine de quatre jours.

         Pourtant, quelle source d’inégalités que ce travail à faire en dehors de l’école. Entendons-nous bien : apprendre des poésies et les tables de multiplication n’est pas ce que je considère comme des devoirs, mais un pas vers la culture. De même lorsque j’étais enseignant dans ce qui s’appelait à l’époque un CET (Collège d’Enseignement Technique), je savais que tout ce que les élèves retiendraient devait être fait en classe, ce qui n’empêchait pas les leçons à la maison (eh oui, les verbes irréguliers anglais, il fallait bien les apprendre) et une fois par quinzaine une rédaction. Et c’était suffisant. Alors que l’on cesse de nous faire croire que ce qui était possible avec des ados de 15-16 ans ne l’est pas avec des gamins de 8-10 ans, qui ont besoin de jouer après leur longue journée d’école. Si nous nous sommes battus pour les 35 heures, c’est bien que l’on trouvait les journées et la semaine trop longue, nous autres adultes.

         Alors espérons que cette fois-ci la loi soit appliquée une bonne fois pour toutes.

Et ce n’est pas fini…

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2013 : la fin d'un mythe ?

2 Janvier 2013, 14:25pm

Publié par Bernardoc

  En faisant du tri dans ma chambre de Las brunhas, je suis tombé sur mes bulletins trimestriels. Je m’y suis précipité dessus, non sans attendrissement, car j’avais le souvenir, moi qui ait eu un an d’avance jusqu’au DUEL (Diplôme Universitaire d’Etudes Littéraires) d’un bon petit élève. Eh bien, ce n’était pas tout à fait cela !

         Voici quelques remarques professorales que j’ai redécouvertes, et force est de constater que 50 ans plus tard, les profs ne font guère preuve de plus d’originalité.

-        6ème : Histoire-géographie : Bon élève qui pourrait toutefois participer plus activement à la classe.

Dessin d’imitation : A baissé régulièrement. Effort très insuffisant.

         Malgré cela, le Proviseur du lycée Jacques Decour a quand même mis un sobre : « Très bien ».

-       5ème : Pas retrouvé les bulletins, mais « Elève sérieux » me qualifie la directrice du lycée Jean Aicard sur le livret scolaire.

-       4ème : Education physique : Résultats très médiocres.

« Encore un effort à faire en mathématiques »

Français : Trop bavard en fin de trimestre. Souvent de l’inattention.

Histoire - géographie : Un peu de relâchement.

Observations du chef d’établissement : « Elève très doué. Moins bonne tenue ce trimestre ».

-       3ème : Français : Un peu terne ; pourrait franchement mieux faire en français.

Education physique : Peu d’efforts.

Anglais : Pourrait beaucoup mieux faire.

-       2ème : Français : Relâchement en fin de trimestre. Trimestre décevant (2). Ne semble fournir qu’un effort relatif (3). L’effort est médiocre (livret).

Histoire – géographie : Adepte du moindre effort. C’est encore insuffisant (2). Adepte du moindre effort (3). Elève passable…parce qu’il le veut bien ! (livret).

Anglais :Attitude peu louable : se laisse aller même avec bons résultats.

Mathématiques :Médiocre. Peut mieux faire (2).

 

Sciences physiques : Médiocre. Devrait mieux réussir (2)

Observations du chef d’établissement : « Un effort plus énergique s’impose ». « Doit s’imposer un travail beaucoup plus soutenu » (2) « Pourrait encore beaucoup mieux faire en consentant à fournir l’effort sans lequel les résultats resteront au niveau d’une passable moyenne. »(3).

-       1ère : Histoire : Travail irrégulier et manque de sérieux en classe.

Anglais : Doit savoir se limiter à l’oral.

-       En terminale (Philo), même le prof de philo, discipline dans laquelle j’avais les pires résultats a mis des appréciations encourageantes.

Ces appréciations sont assez révélatrices de l’importance des profs : il y avait des cons dont l’attitude ne pouvait qu’entraîner le désamour pour le sujet qu’ils enseignaient : cela explique que d’une année sur l’autre ce ne sont pas les mêmes disciplines qui ne recueillaient pas mon adhésion. Mais le dramatique, dans l’éducation nationale, c’est que c’est  la même chose pour les « carrières » : en fonction des supérieurs hiérarchiques vous allez pouvoir être « boosté » ou freiné dans votre avancement. L’important est d’avoir la chance de tomber sur la bonne personne au bon moment. J’en connais pour qui ce fut le cas.

Et ce n’est pas fini…

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