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Le blog de Bernard SARLANDIE

Journée culturelle.

30 Septembre 2022, 23:05pm

Publié par Bernardoc

Entre midi et deux heures, nous étions à la Bourse du Travail pour assister à une conférence proposée par l'IHS-CGT. Magali DELLA SUDA, chercheuse au CNRS et à Sciences-Po Bordeaux nous présentait son dernier livre : Les Nouvelles Femmes de Droite. Cette militante du SNTRS, passionnante et pédagogue, elle nous a fait découvrir des mouvements que la plupart d'entre nous ignoraient. Sans doute vous parlerai-je de ce livre plus en détail lorsque je l'aurai lu. Cet intermède méridien s'est achevé de façon conviviale par un casse-croûte à base de produits du sud-ouest. C'était une première concernant l'horaire et j'ai trouvé que la période était plus adéquate qu'en fin d'après-midi. A renouveler donc !

De là nous filâmes à la salle des fêtes du Grand Parc (il me semble que je n'y étais plus retourné depuis un meeting d'Arlette LAGUILLER il y a plusieurs décennies) pour assister à la générale d'un spectacle reprenant les chansons de Moustaki. La salle était installée en mode cabaret : sympa. Mais avant nous fûmes conviés à une exposition autour de masques, résultat d'une rencontre entre des collégiens, des résidents d'EHPAD et des traumatisés. Les photos étaient accompagnées d'un film qui retraçait la démarche culturelle qui avait abouti à ce résultat.

Enfin, dernière réunion éminemment culturelle, puisqu'il s'agissait de l'assemblée générale du CTL-Théâtre. Ce fut le plus rapide de nos trois épisodes de ce jour.

Et ce n'est pas fini...

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9 000 à Bordeaux !

29 Septembre 2022, 21:04pm

Publié par Bernardoc

Pour ceux qui n'auraient pas compris pourquoi nous étions dans la rue, je vous invite à remonter un peu plus haut dans le blog.

Et ce n'est pas fini...

9 000 à Bordeaux !
9 000 à Bordeaux !
9 000 à Bordeaux !
9 000 à Bordeaux !
9 000 à Bordeaux !
9 000 à Bordeaux !
9 000 à Bordeaux !
9 000 à Bordeaux !
9 000 à Bordeaux !
9 000 à Bordeaux !
9 000 à Bordeaux !
9 000 à Bordeaux !
9 000 à Bordeaux !

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Anthony Smith attend réparation

28 Septembre 2022, 10:14am

Publié par Bernardoc

Stéphane Guérard in L'Humanité du 28 septembre 2022

Deux ministres du Travail successifs et toute la haute hiérarchie du ministère dressée contre lui ne sont pas parvenus à le faire flancher. Ce mercredi, l’inspecteur du travail Anthony Smith se présente devant le tribunal administratif de Nancy pour obtenir l’annulation de la sanction qui lui a été infligée il y a deux ans. Son tort ? Avoir déposé un référé contre une association d’aide à domicile, afin d’obtenir pour ses salariées des charlottes, blouses et autres masques FFP2 que leur refusait la direction de la structure… en plein cœur du premier confinement dû à l’irruption du Covid.

« Ce n’était pas grand-chose. Pourtant, c’était comme si j’avais porté atteinte à la sûreté de l’État. Je suis d’un coup devenu le pire des agents : il ne fallait alors surtout pas demander des mesures de protection pour ces salariées », résume Anthony Smith. Presque immédiatement mis à pied par sa ministre de tutelle, Muriel Pénicaud, il est démis de ses mandats syndicaux, suspendu de ses fonctions et muté « dans un placard » à Melun, à 200 kilomètres de son domicile. Trois mois plus tard, Élisabeth Borne, successeur de Pénicaud, est contrainte de plier face aux mobilisations de soutien, aux pétitions (165 000 signatures) et à l’appel signé par plus de 1 300 de ses collègues des services de l’inspection du travail demandant sa réintégration. Reconnaissant que la procédure à son encontre n’était« ni fait ni à faire », la future cheffe du gouvernement réintègre l’inspecteur dans ses fonctions, mais à Bar-le-Duc, soit à 75 km de chez lui, ainsi que dans son mandat d’élu CGT de la région Grand Est.

« J’ai été stigmatisé, mis au ban. Muriel Pénicaud a même demandé que l’ensemble de la hiérarchie reçoive la note de ma sanction. J’ai été réintégré, mais la sanction demeure. Je viens donc chercher son annulation », explique celui qui fut aussi secrétaire général de la CGT du ministère du Travail. Devant le tribunal, une large manifestation l’attend avant l’audience, regroupant l’ensemble des syndicats, des personnalités politiques comme des citoyens touchés par pareille répression.« Deux ans après son déclenchement, cette affaire mobilise toujours largement car elle dépasse la personne d’Anthony, relève Valérie Labatut, de la CGT ministère du Travail.Elle est emblématique d’un moment où les contrôleurs et les inspecteurs du travail se sont trouvés fragilisés par des injonctions contradictoires, une inflation de recommandations ou de protocoles, qui venaient remplacer les règles impératives du droit du travail. De telle sorte qu’exercer les pouvoirs qui sont les leurs posait problème. Le ministère aurait pu intervenir pour couper court à cette histoire. Il a préféré sanctionner son agent. »

Pour la première fois en deux ans, Anthony Smith a la possibilité d’être entendu par une juridiction. Pour la première fois aussi, la position de l’administration sera dévoilée en creux dans l’intervention du rapporteur public. Décision du tribunal attendue une dizaine de jours plus tard. 

Nous penserons à lui dans les manifs de demain.

Et ce n'est pas fini...


 

 

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Le travail à l’heure des grandes solitudes

27 Septembre 2022, 10:49am

Publié par Bernardoc

Le développement du télétravail et plus généralement l’individualisation des tâches et le management par le chiffre isolent davantage les salariés. Avec de graves conséquences psychosociales

Autonomie et manque de moyens

L’évaluation pour seul lien

Socialiser en dehors du travail

Si le télétravail et le management ont isolé les salariés, comment les syndicats peuvent-ils les aider ? « Depuis le Covid, les salariés sont seuls, donc on a une multiplication des sollicitations individuelles », reconnaît Sophie Binet, secrétaire générale de l'Ugict-CGT. Mais la priorité reste de créer du collectif. « Le syndicalisme est un réseau, un moyen d’échanger et se serrer les coudes. On essaie de m’isoler dans ma relation avec l’entreprise, le syndicat peut être là pour me soutenir. On le vend comme service individuel et service collectif », affirme Raphaëlle Bertholon (CFE-CGC). On peut aussi voir les choses ­différemment, comme le sociologue Roger Sue. Selon lui, « plus d’individualisation ne veut pas dire moins de socialisation, mais ailleurs que sur le lieu de travail ». L’adieu à la vie de bureau, en somme.

Le titre et les sous-titres de cet article du Monde sont suffisamment éloquents : rien à rajouter à ce que disent les deux syndicalistes.

Et ce n'est pas fini...

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CONTRAT D’ENGAGEMENT RÉPUBLICAIN : LE MOUVEMENT ASSOCIATIF ALERTE

26 Septembre 2022, 18:44pm

Publié par Bernardoc

MERCREDI 21 SEPTEMBRE 2022

À la lecture des derniers évènements, Le Mouvement associatif réaffirme son opposition au contrat d’engagement républicain et s’alerte des premières dérives constatées.

La semaine dernière, le Préfet de la Vienne a demandé à la Ville de Poitiers et à la communauté urbaine du Grand Poitiers de retirer leur soutien financier à la tenue du Village des Alternatives du 17 et 18 septembre organisé par l’association Alternatiba Poitiers. En cause, la programmation d’un atelier sur la désobéissance civile, preuve selon le Préfet de la Vienne, d’un « non-respect du contrat d’engagement républicain ».

Cette demande, à laquelle la Maire de Poitiers a pour l’instant répondu par la négative, vient illustrer très concrètement les conséquences néfastes de ce texte pour les associations que nous avons soulevé collectivement :
annoncé comme un outil de lutte contre le séparatisme, il est ici utilisé pour limiter la liberté d’expression d’associations et leur capacité à faire vivre le débat, sans même qu’aucun trouble de quelque ordre ne puisse être constaté ;
Soumis à interprétations, ce texte crée une insécurité juridique et financière forte pour les associations et pour les financeurs de la vie associative que sont les collectivités.

Cet épisode n’est malheureusement qu’un exemple parmi d’autres de ce que produit le contrat d’engagement républicain et des tensions qu’il génère, dans un contexte où toutes les forces sont au contraire nécessaires pour faire vivre le débat démocratique.

La même semaine, Marlène Schiappa, Secrétaire d’État en charge de l’économie sociale et solidaire et de la vie associative, a présenté sa feuille de route ministérielle, dans laquelle elle appelle à un pacte de confiance avec
les associations.

« Ce pacte de confiance État-associations, auquel nous souscrivons, ne pourra pleinement se construire sans que soient prises en compte les inquiétudes aujourd’hui avérées des acteurs et partenaires de la vie associative face au contrat d’engagement républicain et que des réponses ne soient apportées. »


Claire THOURY,
Présidente du Mouvement associatif

 Et ce n'est pas fini...
 

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C'est bientôt !

25 Septembre 2022, 20:38pm

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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Invitation

24 Septembre 2022, 11:16am

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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Nous y serons !

23 Septembre 2022, 15:01pm

Publié par Bernardoc

L’UCR-CGT appelle les retraités à participer massivement aux rassemblements et manifestations, en convergence avec les actifs, sur l’ensemble du territoire, dans le cadre de la journée interprofessionnelle et intergénérationnelle

du 29 septembre.

Pensions : ça ne va pas !

L’UCR-CGT milite et déploie des actions sur l’ensemble du territoire pour les retraités.

Les revendications portent sur la revalorisation des pensions de base et complémentaires, une Sécurité sociale intégrale et des services publics de qualité en proximité.

De nombreuses actions, comme le 2 décembre 2021 à Paris, avec plus de 25 000 manifestants, et le 17 mars dernier avec 40 000 manifestants, sur tout le territoire, nécessitent, imposent des réponses urgentes de la part du gouvernement. Ce dernier a été contraint d’annoncer une augmentation de 4 % des pensions sur les retraites du régime général. Mais le compte n’y est vraiment pas !

0 %, à ce jour, pour les retraites complémentaires qui représentent près de 50 % du total de leurs pensions pour de nombreux retraités ;

4 %, votés par le Parlement cet été, pour les pensions du régime général. Le gouvernement considère, avec cette augmentation et celle de 1,1 % au 1er janvier – au titre de 2021 –, qu’il a répondu à l’inflation (6,8 % en juillet). Mensonge !

Aucune mesure pour compenser les pertes cumulées de janvier2008 à décembre2021 qui représentent pour les retraites de base en 15 ans,
2 ans et un trimestre
!

Cette situation est insupportable pour de très nombreux retraités, en premier lieu pour les plus fragiles, les femmes… Les retraités exigent de vivre dignement de leur retraite, comme les actifs de leur travail. Ils ne veulent pas de charité.

Stop au cortège de mesurettes : chèque inflation, chèque alimentation, chèque énergétique, chèque carburant… Elles sont ponctuelles et ne répondent pas aux besoins des retraités pour assurer leur quotidien. De plus, elles ne sont pas pérennes et non soumises à cotisations sociales, ne permettant pas ainsi de financer, par le salaire socialisé, notre Sécurité sociale.

Sécurité sociale et système de santé : ça ne va pas !

Les suppressions de 115 000 lits dans les hôpitaux en 25 ans et de 100 000 postes de soignants en 8 ans pèsent lourdement sur l’ensemble de la population. De plus en plus de retraités ne peuvent plus se soigner, faute de moyens suffisants.

Nous exigeons :

 

100 000 embauches pour l’hôpital pour répondre aux besoins de santé ;

Une nouvelle loi prenant en compte le droit à l’autonomie dans le cadre de la Sécurité sociale ;

200 000 embauches dans les Ehpad ;

100 000 embauches dans le secteur de l’aide à domicile pour garantir des soins de qualité ;

L’accroissement du nombre de médecins généralistes et de centres de santé publics.

Services publics : ça ne va pas !

Les services publics et leurs personnels ont joué un rôle capital dans la lutte contre la pandémie, malgré des conditions de travail de plus en plus dégradées. L’amélioration de la qualité de leurs missions et de leurs déploiements sur tout le territoire doit devenir une priorité de l’État et des collectivités territoriales.tout le territoire.

Ce sont bien des services de proximité, avec du personnel en nombre et formé, dont nous avons tous besoin. Ils sont les garants d’une égalité de traitement et d’un accès pour tous. L’utilisation d’Internet n’est pas du service public.

Il faut répondre à nos revendications !

Le gouvernement refuse de taxer les hauts revenus et aide les entreprises à hauteur de 400 milliards d’euros. Il doit donc, sans délai, donner satisfaction à nos légitimes exigences :

Revalorisation des retraites de base et complémentaires sur l’évolution du salaire moyen ;

Ouverture de négociations avec le patronat sur les retraites complémentaires Agirc/Arrco ;

300 immédiatement et le blocage des prix sur tous les produits de première nécessité ;

Pas de retraite inférieure au Smic de 2000 € brut ;

Des mesures urgentes pour pallier au retard cumulé sur les dernières demandes de retraite (Carsat/Cnav) ;

Des moyens supplémentaires pour la Sécurité sociale, par les cotisations sociales, dans la loi de financement 2023 ;

Des services publics de proximité avec des personnels en nombre et qualifiés.

 

Les retraités ne sont ni dans l’abondance, ni dans l’insouciance !


 

En Gironde, rendez-vous le 29 Septembre

 

11h.30 Place de la République à Bordeaux

 

Départ de la manifestation unitaire à 12 h.

Et ce n'est pas fini...

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JEP 2022 : J2.

22 Septembre 2022, 18:25pm

Publié par Bernardoc

Nous étions attirés par la Grosse cloche, que nous avions eu pendant sept ans en face de nos fenêtres. Une bonne heure et demie de queue avant que nous soyons pris en charge par un guide. Les groupes étaient limités à dix personnes. Nous commençons par une observation extérieure, ce que nous connaissions déjà suite à nos multiples visites guidées de Bordeaux, puis nous grimpons à l'intérieur et là : grosse déception. Certes nous avons visité deux cellules (les tours servaient de prison) et vu les mécanismes (l'ancien et l'actuel) de l'horloge, mais rien d'enthousiasmant. Nous avions préféré la porte Cailhau, visitée lors de précédentes Journées du Patrimoine.

En route pour la cour Mably, nous sommes tombés sur une exposition artistique dans une cour d'immeuble, avec des statues assez sympa.

Puis un coup d'oeil à l'église St Paul avant de traverser le cours Alsace-Lorraine.

La cour Mably accueillait différentes associations, et notamment la Mémoire de Bordeaux dont l'exposition photographique « Berges et ponts » en était à son dernier jour ; nous l'avons apprécié.

Mais la longue station debout dans la queue nous avait fatigués et nous avons donc regagné nos pénates. Peut-être l'an prochain la cour régionale des comptes au même endroit ?

Et ce n'est pas fini...

 

JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.
JEP 2022 : J2.

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E.N.M.

21 Septembre 2022, 10:47am

Publié par Bernardoc

Pour les non-Bordelais, il s'agit de l’École Nationale de la Magistrature. Elle existe depuis 1972 et a été construite sur le site du fort du Hâ édifié en 1486 par Charles VII suite à la victoire de Castillon-la-Bataille qui mit fin à la guerre de cent ans.

Entre temps les deux tours qui restent avaient été utilisées comme prison (jusqu'en 1967) et des résistants y avaient été torturés pendant la guerre.

C'est la première fois que je pénétrais en ce lieu (merci aux JEP!). Cela m'a paru un lieu propice aux études, et dont la beauté architecturale mêlant harmonieusement le XV° et le XX° siècle méritait bien du patrimoine. Une verrue du XXI° siècle au sein de ce bel endroit : un nombre important d'Algecos servant de salles de classe (classes limitées à une quinzaine d'étudiants). Cette présence nous est expliquée par un panonceau : il fallait accueillir des auditeurs en plus grand nombre. C'était donc le résultat concret de l'augmentation du budget de la justice.

Et ce n'est pas fini...

E.N.M.
E.N.M.
E.N.M.
E.N.M.
E.N.M.
E.N.M.
E.N.M.
E.N.M.
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E.N.M.
E.N.M.
E.N.M.
E.N.M.

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