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Le blog de Bernard SARLANDIE

Et ma pension ?

28 Février 2022, 18:43pm

Publié par Bernardoc

Inflation : la hausse des prix atteint 3,6% sur un an en février 2022

France : les prix à la consommation augmentent fortement en février 2022

Les données provisoires de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) publiées vendredi 25 février 2022 concernant l’inflation de février 2022 montrent une claire accélération de la hausse des prix à la consommation. Alors qu’en janvier 2022, sur un an, les prix avaient augmenté de 2,9%, les données provisoires de février 2022 affichent une inflation à 3,6% sur un an.

La pression sur le budget des ménages s’accentue donc encore en France, portée tout particulièrement par les prix de l’énergie dont la hausse atteint 21% sur un an en février 2022 (contre 19,9% en janvier 2022). Et si les prix du gaz et de l’électricité sont désormais gelés par le gouvernement, après l’augmentation des tarifs réglementés de l’électricité de 4% le 1er février 2022, ce n’est pas le cas des prix des carburants qui continuent de grimper.

La nourriture coûte de plus en plus cher

L’ensemble des produits à la consommation en France augmente, soulignent les données de l’Insee. C’est le cas des produits manufacturés (+2,2%) ou encore des services (+2,2%).

Mais les ménages doivent également composer avec une hausse des prix de l’alimentation : +1,9%. Une augmentation qui est surtout marquée au niveau des prix des produits frais qui enregistrent, en février 2022, une hausse de 5,6% sur un an.

Et ce n'est pas fini...

 

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Ukraine : contre la guerre, pour la paix immédiate

27 Février 2022, 09:42am

Publié par Bernardoc

Les confédérations syndicales CGT, FO, CFDT, CFTC et CFE-CGC dénoncent l’agression contre l’Ukraine décidée et mise en œuvre par le gouvernement de la Russie.

Il s’agit d’une guerre, en violation de la souveraineté d’un pays, en violation du droit international et des principes fondateurs de la Charte des nations unies.

Alors que plusieurs centaines de victimes civiles sont d’ores et déjà à déplorer, nos confédérations expriment leur soutien aux populations, travailleurs et à leurs syndicats qui sont d’ores et déjà victimes, comme elles le sont toujours lors des conflits.

Nous appelons à l’arrêt immédiat de cette agression et au retrait des troupes russes du territoire ukrainien.

Les confédérations CGT, FO, CFDT, CFTC et CFE-CGC appellent à la solidarité syndicale mondiale pour la paix immédiate.

Elles réaffirment avec force le préambule de la constitution de l’OIT (Organisation internationale du travail) affirmant qu’une paix universelle et durable ne peut être fondée que sur la base de la justice sociale.

Le 25 février 2022

Et ce n'est pas fini...

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C'était avant...

26 Février 2022, 13:08pm

Publié par Bernardoc

Tous les peuples sans exception – qui sont confrontés à une crise globale (climatique, sanitaire sociale…) frappant les plus pauvres , les plus fragiles – n’ont rien à gagner à une nouvelle guerre !

Les priorités pour les peuples et l’avenir de l’humanité se nomment : Paix, climat, justice sociale, réalisation des droits humains, désarmement !

 Nous revendiquons :

  1. Des négociations immédiates pour la désescalade

  2. L’arrêt des menaces, des concentrations de troupes de l’OTAN et de la Russie et des livraisons d’armes à toutes les parties

  3. Un cessez-le-feu en Ukraine et la mise en œuvre des accords existants

  4. Que les Nations-Unies soient le cadre privilégié d’élaboration des solutions politiques et diplomatiques pour régler la question ukrainienne.

Sur ces bases nous appelons aux mobilisations les plus larges possibles à compter du 12 février 2022.

Premiers signataires : Le Mouvement de la Paix, FSU, CGT, Enseignants Pour la Paix (EPP), ATTAC, PUGWASH-France, AFCDRP (Association française des communes départements et régions pour la Paix), Appel des Cent Bagnolet, ACCA (Agir contre le colonialisme aujourd’hui), Parti Communiste Français (PCF), République et Socialisme, Collectif citoyen pour la paix en Ukraine, Conseil de coordination du Forum des Russes de France, APCV (Association de promotion des cultures du voyage), Parti pour la laïcité et la démocratie en Algérie (PLD), IDRP (Institut de Recherche pour la Paix), Vrede (Mouvement Belge pour la Paix), Union des fédérations de pionniers de France, Abolition des armes nucléaires, Abolition des armes nucléaires – Maison de vigilance, Université Européenne de la Paix (UEP), Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), Alerte Otan (Belgique), Pôle de renaissance communiste en France (PRCF), Mouvement pour une Alternative Non Violente (MAN), France Amérique Latine (FAL), La Voix Lycéenne, AFPS Paris-Sud, Collectif Faty KOUMBA (Association des Libertés, Droits de l’Homme et non-violence), Mouvement National de Lutte pour l’Environnement (MNLE), FNDIRP 38, FNDIRP 44, Pour une Ecologie Populaire et Sociale (PEPS), Stop Fuelling War, Initiative Féministe EuroMéditerranéenne (IFE), Fondation Copernic, ATTAC, Un jour la paix, Unis Pour Le Climat et la biodiversité, Marche Mondiale des Femmes (MMF France), Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF), ATTAC Toulouse, Comité départemental du Souvenir 44, Amicale Châteaubriant Voves Rouillé Aincourt, Radio For Peace International, Union syndicale Solidaires, Union communiste libertaire.

Nous sommes très nombreux, pourquoi la paix ne triomphe-t-elle pas ? Plus que jamais, soutien aux Russes qui osent manifester contre la guerre et exigeons l'abolition de l'armée, école du crime, qui ne sert qu'à tuer des innocents !

Et ce n'est pas fini...

 

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Pour la paix et une solution négociée en Ukraine

25 Février 2022, 09:49am

Publié par Bernardoc

Le président Vladimir POUTINE a pris cette nuit la lourde responsabilité d’ordonner le bombardement de dizaines de sites militaires à travers toute l’Ukraine et aux troupes de l’armée de terre russe de franchir la frontière en plusieurs points du territoire ukrainien. Ces bombardements supposément ciblés ont déjà touché des quartiers d’habitation et ont causé des pertes civiles.
La vie de millions d’Ukrainiens est bouleversée.

Cette décision peut provoquer un embrasement dramatique de la région et conduit déjà les populations civiles de plusieurs grandes villes, en particulier de Kiev, à fuir vers l’ouest, abandonnant en catastrophe leurs logements.
La CGT alerte sur les risques de généralisation du conflit et appelle l’ensemble des dirigeants des parties concernées à ne jouer en aucun cas la carte de l’escalade.

Les armes doivent se taire immédiatement et laisser la place à une solution diplomatique plaçant au cœur l’aspiration des populations à vivre libres et en paix !

La CGT condamne, comme elle l’a toujours fait, les menées impérialistes des grandes puissances, l’irresponsabilité des dirigeants qui font le choix des armes plutôt que du dialogue, les cadres d’alliance militaire dont l’OTAN qui représentent une menace permanente pour la paix.

A l’instar de nombreuses voix en France et dans le monde, la CGT exhorte tous les responsables politiques à arrêter de suivre la logique militaire et à faire prévaloir l’aspiration des peuples à la paix.
Face à une guerre qui une fois encore se traduira par des morts, des destructions et des reculs sociaux, la CGT est aux côtes des travailleuses et travailleurs d’Ukraine, de leurs organisations syndicales. Elle est aussi aux côtés des travailleuses et travailleurs, des organisations syndicales, des pays qui seront rapidement impactés par cette guerre, notamment ceux de Russie et des pays limitrophes de l’Ukraine.

Tous les peuples sans exception – qui sont confrontés à une crise globale (climatique, sanitaire, sociale...) frappant d’abord les plus pauvres, les plus fragiles – n’ont rien à gagner à une nouvelle guerre !

Les priorités pour les peuples et l’avenir de l’humanité se nomment : paix, préservation de l’environnement, justice sociale, réalisation des droits humains, désarmement !

Nous revendiquons :

  1. Un cessez-le-feu en Ukraine et la mise en œuvre des accords existants
    2. L’arrêt des menaces et des livraisons d’armes à toutes les parties
    3. Que les Nations-Unies soient le cadre privilégié d’élaboration des solutions politiques et diplomatiques pour régler la question ukrainienne.

    Avec les organisations du Collectif national des marches pour la paix, la CGT appelle aux initiatives de mobilisation pour la paix et une solution négociée en Ukraine.

    Montreuil, le 24 février 2022

    Et ce n'est pas fini...

     

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Pas envie de parler de l'Ukraine.

24 Février 2022, 09:36am

Publié par Bernardoc

Démarchage téléphonique in planet.fr

Ils font vivre l'enfer à de nombreux Français. Le démarchage téléphonique est de plus en plus courant aussi bien sur téléphone fixe que sur téléphone mobile, ce qui fait que vous n'êtes jamais tranquilles. Si vous arrivez souvent à identifier les numéros, ils en changent régulièrement ou trouvent d'autres ruses pour réussir à vous contacter. Comme l'explique le site du service public, "on parle de démarchage téléphonique abusif lorsque vous recevez des appels téléphoniques commerciaux non désirés". Entreprise de téléphonie, de changement de fenêtres... Parfois, ces appels sont aussi des arnaques, comme c'est le cas pour le CPF. 

Excédés par ces appels incessants, de nombreux Français ont fait le choix de s'inscrire sur le service Bloctel, qui, selon le ministère de l'Economie, "permet de protéger les consommateurs des pratiques abusives du marketing téléphonique". Gratuit, il exige simplement de vous que vous y inscriviez votre numéro ou celui de vos proches. Quelle différence avec la liste rouge ? Bercy explique : "L'inscription sur les listes rouge ou orange permet de ne pas figurer dans les annuaires. Or, les démarcheurs n'utilisent pas uniquement les annuaires téléphoniques pour réaliser des prospections commerciales. Ainsi, donner son ou ses numéros dans le cadre d'une opération commerciale peut conduire à la constitution de listes qui peuvent être revendues".

Ma solution à moi : je ne décroche plus le fixe et compose le 3103 après une sonnerie : il n'y a jamais de message et quelquefois il n'y a même aucune trace d'appel !

Sur le mobile, je décroche, remercie et bloque le numéro.

Et ce n'est pas fini...

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Ils n'ont pas bien compris.

23 Février 2022, 14:30pm

Publié par Bernardoc

TRIBUNE. 52 élus appellent à parrainer Taubira pour « donner une voix aux votants de la Primaire populaire » JDD 20 février 2022

Pendant combien de temps va-t-on encore singer les Etatsuniens et nous bassiner avec ce truc importé qui ne débouche sur rien ? Surtout quand cette primaire dite « populaire » relève de la mauvaise foi la plus évidente, le but déclaré étant de tenter d'empêcher Mélenchon d'avoir ses parrainages d'élus (lui dont la candidature ne fut officielle que lorsque 150 000 citoyens l'eurent plébiscité) et d'être une écurie pour Taubira.

Mais nous ne sommes plus en 2002 ! A l'époque le candidat de gauche se défendait d'avoir un programme socialiste, ouvrant ainsi la voie royale à Chirac. Et vingt ans plus tard, nous sommes en présence de deux programmes de gauche travaillés et aboutis : L'avenir en commun et Les jours heureux. Alors pourquoi vouloir propulser une candidature de division, qui rivalise en intentions avec celle de la candidate socialiste, sinon pour favoriser la réélection du président des riches qui ne fera qu'amplifier les catastrophes sociales qu'il a initiées au cours des cinq dernières années ?

En plus, tout comme Macron, Taubira s'est également commise avec Hollande, qui n'a pas vraiment mené la politique pour laquelle il avait été élu.

Donc, rideau !

Et ce n'est pas fini...

 

 

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Début du SNU : la FERC préfère l’Éducation populaire !

22 Février 2022, 09:56am

Publié par Bernardoc

Le 13 février 2022, des « séjours de cohésion » du Service national universel (SNU) ont débuté, pendant le temps scolaire de la zone C, en concurrence donc avec le temps d’enseignement, disposition sans précédent appelée « articulation avec la scolarité ».

Objectif du gouvernement : 4000 jeunes ce mois et 50 000 en tout pour 2022. Des élèves vont donc être privés de cours alors même que les deux dernières années ont déjà conduit à une perte importante d’accès à l’éducation avec la pandémie Covid. Deux autres sessions sont prévues en juin et juillet. Le ministre de l’Éducation nationale a mobilisé préfet·es, recteur·trices et DASEN, CPE et enseignants pour faire la promotion et l’organisation du SNU ainsi que la quasi-totalité des moyens et agents « Jeunesse » (les CEPJ).

 La FERC CGT se prononce contre l’établissement du SNU depuis son annonce.

 Si pour encore cette année, le SNU ne s’adresse qu’à des volontaires, son but officiel est de formater 800 000 jeunes par an. Surprenant, alors que l’Armée et la Gendarmerie refusent de s’impliquer directement dans ce SNU. L’objectif affiché de former les « futurs citoyens » cache en réalité la volonté d’imbiber la société de culture militaire dans l’espoir qu’infuse, dans la jeunesse, un amour de l’uniforme et de l’ordre. Si le SNU devenait obligatoire, il ne devrait en aucun cas s’effectuer pendant les temps de scolarité, la FERC porte le projet d’une éducation populaire pas d’une éducation militaire.
Au programme, uniforme, morale et précarité Une fois devenue obligatoire, la participation aux séjours SNU donnera droit à un certificat exigé pour passer le bac et le permis de conduire. Les jeunes devront faire des « missions d’intérêt général » c’est-à-dire faire le travail de salariés sans avoir aucun droit ni rémunération.

Le coût du SNU est de 1,6 milliards d’euros cette année, 6 milliards annuels à terme, alors que le gouvernement met à mal la dimension émancipatrice de l’École autant par la suppression de postes que par les effets des contre-réformes Blanquer. Au contraire, nous revendiquons des moyens pour une éducation à la citoyenneté, en particulier dans un contexte de montée en puissance de l’extrême droite.

 La FERC CGT exige l’abandon du SNU avant qu’il ne devienne obligatoire et que les crédits prévus soient reversés à la création de postes statutaires dans l’Éducation nationale, au ministère de la jeunesse et des sports et au financement des associations sportives et d'éducation populaire.

Et ce n'est pas fini...

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Face à la précarité énergétique, exigeons d’autres mesures !

21 Février 2022, 17:54pm

Publié par Bernardoc

Depuis un an, les prix du gaz ont quadruplé entrainant de fait une forte augmentation des prix de l’électricité. Cette situation est la conséquence du démantèlement du secteur de l’énergie et de son ouverture à la concurrence donc à la loi du marché.

L’énergie est un bien essentiel et devrait donc faire l’objet d’une maitrise publique dans le cadre d’un pôle public de l’énergie. Maitrise publique qui doit permettre l’égalité d’accès quels que soient son niveau et
son lieu de vie.

Le coût de l’énergie impacte l’ensemble de la population mais plus particulièrement les plus précaires.

Durant l’hiver 2020/2021, 20% des Français ont déclaré avoir souffert du froid dont 36% pour des raisons financières, selon l’observatoire national de la précarité énergétique. 25% des ménages ont connu des difficultés de paiement en 2021 selon le baromètre Energie-info.

Alors que la précarité énergétique ne cesse d’augmenter, que la rénovation énergétique des logements est à la peine, les bailleurs et plus particulièrement les bailleurs sociaux ont procédé, dans la période, à des réévaluations de provisions de charges suite à l’explosion des prix de l’énergie. Réévaluation allant dans certains cas jusqu’au doublement des charges, mettant ainsi encore plus en difficulté les ménages déjà durement touchés par la crise sanitaire et sociale.

En effet, le bouclier tarifaire annoncé par le gouvernement ne s’appliquait pas quand il existait un intermédiaire entre le fournisseur d’énergie et l’usager final, ce qui est le cas de la majorité des habitations
collectives et donc des locataires du logement social. Selon l’Union Sociale de l’Habitat, entre 1,6 et 2,5 millions de logements seraient concernés.
Et, ce n’est ni le chèque énergie exceptionnel de 100 euros attribué au 5,8 millions de ménages bénéficiaires, ni l’indemnité inflation versée à celles et ceux qui gagnent moins de 2000 euros nets par mois qui peuvent leur permettre de sortir durablement de la précarité.

Face à cette situation et à la montée des colères, le gouvernement a annoncé l’application du bouclier tarifaire pour les HLM et copropriétés. Cette mesure de justice devrait permettre d’éviter une augmentation des situations d’impayés de quittance de loyer et donc conduire à de nouvelles procédures
d’expulsions locatives. Néanmoins, le gouvernement ne s’attaque pas à la racine du problème.

La CGT et son INDECOSA CGT exigent :

la mise en place d’un pôle public de l’énergie et des tarifs régulés pour toutes les énergies ;

que l’énergie soit un bien fondamental et que le droit à son accès soit un droit opposable et donc l’arrêt des restrictions de puissance et des coupures d’énergie ;

la réévaluation du chèque énergie et l’instauration de tarifs sociaux pour permettre aux plus précaires d’assumer les charges d’énergie ;

des augmentations générales de salaire, des pensions et des prestations sociales en commençant par celle du Smic à 2000 euros bruts.

Revendications qui ont toute leur place dans la journée de grèves et de manifestations interprofessionnelles du 17 mars 2022 et lors des journées de mobilisations européennes pour le droit au logement et contre les expulsions locatives des 26 et 27 mars 2022.

Montreuil, le 18 février 2022

CGT + Indecosa

Et ce n'est pas fini...

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Je ne sais plus lire.

20 Février 2022, 11:27am

Publié par Bernardoc

D'aucuns diront qu'ils le savent bien, et pourtant je m'y efforce.

Je viens de trouver Le mag du Haillan dans la boîte aux lettres d'une association car je ne l'ai pas reçu à la maison. Dans la page de l'édito, je vois une photo ainsi légendée : « La Maire, Andréa Kiss, accompagnée des élu(point médian – je n'ai pas ça sur mon clavier)e(point médian)s du Conseil municipal et des conseiller(point médian)ères(point médian)s départementaux(point médian)ales pour l'inauguration... »

Moi, qui ai tenté d'enseigner la langue française et sa beauté à l'étranger et en France à des élèves en difficulté, je suis désolé de voir comment une institution de la République s'applique à détruire tout ce que, nous, les enseignants, avons eu du mal à inculquer à nos élèves.

Dans la légende citée ci-dessus, où est la logique ? Pourquoi utiliser des formules différentes ? Pour compliquer encore davantage ? On parle de Conseil municipal, n'aurait-on pas pu parles des « élu(point médian)e(point médian)s du Conseil départemental ? » Cela aurait au moins eu le mérite de montrer une certaine maîtrise dans la manipulation dévoyée de notre langue.

Enfin, dans son édito, la maire nous promet une année « riche en projets ». J'essaie de deviner :

    • Le retour à une écriture grammaticalement correcte ?

    • Après une rue au nom d'une officière de l'Armée du salut, une rue Jeanne d'Arc ou Bernadette Soubirous, à moins qu'on préfère, dans le cadre de la politique internationale, une rue mère Teresa ? (Uniquement des noms de femmes seront attribués pendant ce mandat).

    • Une révision démocratique de l'application de la loi sur la démocratie de proximité ? A Bordeaux, les deux élus de « Bordeaux en luttes » ont autant de surface d'expression que la majorité municipale.

Il n'est pas interdit de rêver. Après tout, dans un silence assourdissant, une loi vient de réhabiliter collectivement les fusillés pour l'exemple.

Et ce n'est pas fini...

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Eh oui !

19 Février 2022, 08:28am

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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