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Le blog de Bernard SARLANDIE

MusBA

31 Décembre 2022, 14:05pm

Publié par Bernardoc

Deuxième visite culturelle de notre journée du lendemain de Noël : ce sont les artistes femmes sorties des réserves du musée qui nous avaient attirés. A nouveau, beaucoup de monde dans les différentes salles. Bien entendu, pas de tarif "vieux", mais oh surprise ! l'entrée est gratuite pour les personnes en situation de handicap et pour un accompagnant par personne. C'est la première fois que cela nous arrive en France, alors qu'en Italie ou en Espagne, il y a bien longtemps que c'est la norme.

Une découverte : dans plusieurs salles figure un fragment de tableau ou de sculpture censé encourager les visiteurs à examiner avec attention chaque œuvre exposée.

 J'ai remarqué aussi une note à côté de plusieurs tableaux : ce sont des œuvres qui avaient été volées aux juifs ou francs-maçons par les nazis ; elles n'ont pas été réclamées mais seront remises aux descendants de leurs propriétaires qui les réclameraient. C'est bien de les exposer, cela permettra peut-être aux ayants-droits de les reconnaître.

Les photos mêlent des peintures de l'exposition permanente et d'autres de l'exposition qui se termine le 13 février.

Et ce n'est pas fini...

 

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Un Nouveau Regard

27 Décembre 2022, 14:35pm

Publié par Bernardoc

Quoi faire un lendemain de Noël ? Pourquoi pas des visites culturelles ? Nous avons commencé par un lieu que je ne connaissais pas : La Faïencerie, qui présentait une exposition sur les fresques de la chapelle Sixtine peintes par Michel-Ange. lorsque nous étions allés à Rome, nous nous étions arrêtés à la place St Pierre, alors nous avons profité de ces fac-similés sans avoir besoin de lever la tête.

Nous sommes d'abord allés au fond de l'espace pour assister à la projection d'un film retraçant de façon humoristique les travaux consacrés à cette chapelle.

Ensuite, nous sommes retournés au début de l'expo et avons suivi le circuit suivant : la Genèse, les Coins, les Sybilles, les Prophètes et les ancêtres du Christ pour finir devant l'immense tableau du jugement dernier.

Il vous reste encore une semaine pour en profiter.

Et ce n'est pas fini...

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Publié depuis Overblog

26 Décembre 2022, 17:20pm

Publié par Bernardoc

Un beau spectacle sur la médiathèque Michel SAINTE-MARIE (ancien maire).

Et ce n'est pas fini...

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Joyeux Noël !

25 Décembre 2022, 18:07pm

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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LA LIBERTÉ POUR NOS COLLÈGUES ET LE PEUPLE D’IRAN !

24 Décembre 2022, 15:17pm

Publié par Bernardoc

Fédération Nationale des Syndicats du Spectacle, du Cinéma, de l’Audiovisuel et de l’Action Culturelle Cgt

Depuis plusieurs mois, un mouvement secoue la société iranienne, en réaction à la mort de Masha Amini, suite à son arrestation par la police des mœurs pour : « port de vêtements inappropriés ». Les manifestations sont réprimées de manière brutale et implacable par les forces de sécurité iraniennes qui n’hésitent plus à tirer à balles réelles pour assassiner des manifestants.
Au milieu de ce climat de tension extrême et de violences, des artistes et intellectuel·les, des sportifs sont arrêtés, emprisonnés, interrogés et torturés pour avoir soutenu et participé aux manifestations contre le régime liberticide et totalitaire en place en Iran. Nous avons pu observer une recrudescence de ces arrestations arbitraires depuis plusieurs semaines.
Citons, à titre d’exemple, les noms de Taraneh Alidoosti, Saman Yasin, Mohammad Rasoulof, Jafar Panahi, Mostafa Aleahmad, Toomaj Salehi, Hengameh Ghaziani, Katayoun Riahi, Soheila Golestani ou Hamid Pourazari, ainsi que Voria Ghafouri.

Nombre d’actrices, d’acteurs, de chanteurs, de musiciens, de réalisateurs, d’auteurs sont aujourd’hui menacé·es de sanctions excessivement sévères, allant même jusqu’à la peine de mort
concernant Toomaj Salehi, pour des motifs qui s’apparentent tous à des délits d’opinion.
La Fédération CGT du Spectacle et ses syndicats luttent au quotidien pour les libertés des artistes et de tous les personnels qui concourent à la vie culturelle, que ces libertés soient artistiques, sociales ou
économiques.
C'est pourquoi, ils tiennent à dénoncer fermement cette répression d’un autre temps et expriment leur plein soutien aux artistes et personnalités de la culture qui, en Iran, luttent courageusement pour le droit des femmes, la liberté d’opinion et la démocratie.

 

Et ce n'est pas fini...
 

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Hélas !

23 Décembre 2022, 15:18pm

Publié par Bernardoc

Les syndicats débordés par un mouvement venu du terrain

La presse

C'est hélas ce qui a tendance à se produire de plus en plus souvent, et c'est bien entendu encouragé par le gouvernement : les syndicats ne servent à rien, les concertations se bornent juste à une information descendante, sans aucune volonté de discussion. Donc, pourquoi maintenir des élections professionnelles ?

Et en l'absence de syndicats, qui pour contrôler que les pseudo accords seront respectés. On l'a bien vu lors des manifs, trop souvent anti-syndicales des gilets jaunes : quels furent les résultats ? Bien malin celui qui pourrait le dire ! Alors que lors des grandes avancées de '36 et '68, même si le mouvement était parti « du terrain », ce sont bien les syndicats qui ont négocié et réalisé des conquêtes sociales que tous les gouvernements de droite tentent depuis lors de détricoter.

Lorsque je dirigeais un collège, j'aurais bien aimé avoir des syndicats en face de moi ; ç'aurait été plus facile d'anticiper la crise de fin janvier et les grommellements non organisés qui se produisaient alors. Mais les panneaux syndicaux restaient désespérément vides, et le seul qui était mis à jour, celui de la CGT-Educ'action, l'était de mon fait.

Mais ça ne fait rien, je n'ai pas baissé les bras et continue d'agir dans le syndicalisme « retraités », car les attaques réactionnaires ne cessent pas lorsqu'on a quitté la période d'activité.

Et ce n'est pas fini...

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Il faut empêcher que l’hôpital public ne redevienne l’hospice du XIX e  siècle

22 Décembre 2022, 11:47am

Publié par Bernardoc

In Le Monde du 22 décembre 2012 (extraits)

Un collectif de plus de 5 000 médecins, soignants et agents hospitaliers s’adresse au président de la République, Emmanuel Macron,et présente « quatre propositions concrètes pour sauver l’hôpital public »

Les pouvoirs publics, à commencer par le chef de l’État lui-même, doivent avoir conscience que l’hôpital public est en train de se fissurer et bientôt de s’écrouler. Aujourd’hui, il s’agit ni plus ni moins d’empêcher que l’hôpital public ne redevienne l’hospice du XIXe siècle. Les alertes ont été nombreuses et notamment la démission de leurs fonctions administratives de plus de 1 000 chefs de service en janvier 2020. Depuis, il y a eu le Covid-19 et l’hôpital s’est organisé et a fait face.

Le Ségur de la santé, en juillet 2021, a suscité de grands espoirs, mais n’a rien réglé. Les 19 milliards d’euros attribués à cette occasion sont prévus sur dix ans, alors que depuis quinze ans l’hôpital public doit subir plusieurs milliards ­d’économies chaque année. La fuite ­massive des soignants de l’hôpital se poursuit, malgré la revalorisation financière qui a permis de faire passer le salaire des infirmières de la 27e place, sur vingt-neuf des pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques, à tout juste la moyenne de ces pays. Près de 20 % des lits sont fermés par manque d’effectifs. L’hôpital public n’est plus capable d’amortir la moindre crise sanitaire, même si elle est prévisible, comme la chaleur en été et la bronchiolite en hiver. La priorité est d’agir sur les conditions de travail. Nous renouvelons avec force quatre propositions concrètes pour sauver l’hôpital public, qu’il est possible de mettre en œuvre très rapidement.

Premièrement, la sécurisation des soignants dans un service défini avec un horaire défini et un ratio maximal de patients par infirmière.

Pour appliquer ces ratios, il est ­nécessaire d’embaucher environ 100 000 infirmières.

Ensuite, la poursuite de la revalorisation financière amorcée par le Ségur.

Puis : un vrai changement de gouvernance. Chaque service doit être libre de proposer son organisation, ses horaires de travail et doit pouvoir gérer le recrutement de son personnel avec les ratios indiqués plus haut.

Enfin, un changement du mode de financement s’impose. Tant que le financement de l’hôpital sera essentiellement basé sur la tarification à l’activité, la prime à la rentabilité de chaque séjour perdurera avec son côté inflationniste et dévastateur sur les conditions de travail.

Les mesures déjà prises à l’initiative du président de la République sont loin d’être négligeables, mais elles ont été insuffisantes pour corriger quinze ans de restrictions. Dix-huit mois après le Ségur de la santé, la situation s’est encore aggravée et la confiance des soignants s’est profondément dégradée. L’hôpital public est le socle commun indispensable auquel tous les citoyens sont attachés. Le système hospitalier français était à la fin du XXe siècle un des fleurons de notre pays permettant un égal accès à des soins de qualité à chacun, quels que soient ses revenus et sa condition. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. La triple épidémie actuelle de Covid-19, de grippe et de bronchiolite épuise son personnel et amène à annuler ou à repousser beaucoup d’autres soins, ce qui entraîne des pertes de chances importantes pour beaucoup de malades.

Face à cette dégradation sans précédent de notre système hospitalier, l’engagement et l’action du chef de l’État, qui a si bien qualifié l’hôpital public de « trésor de la République », sont devenus indispensables. Il y a urgence.

par  Un Collectif De Plus De 5000 Médecins, Soignants et Agents Hospitaliers

Et ce n'est pas fini...

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Pouvoir d’achat : combien les Français ont-ils perdu ?

21 Décembre 2022, 16:09pm

Publié par Bernardoc

In L'actu Radins.com du 20 décembre 2022

 

Une nouvelle étude de l’Insee révèle que les ménages français ont perdu du pouvoir d’achat. Cette perte est liée à la hausse des prix et ce, malgré les aides de l’État qui ne suffisent pas à compenser la hausse des prix.

Remise à la pompe, chèque énergie exceptionnel, bouclier tarifaire… Selon le ministère de l’Économie, en 2022, l’État a dépensé 41 milliards d’euros pour permettre aux Français de résister à l’inflation et à la hausse des prix. Malgré l’ensemble de ces aides, le constat est sans appel : le pouvoir d’achat est en berne.

Selon l'étude de l’Insee publiée lundi 19 décembre 2022, « entre janvier 2021 et juin 2022, le pouvoir d’achat des ménages a été affecté par la hausse des prix de l’énergie (électricité, gaz, fioul et carburants) ». Sur cette période, « le revenu disponible moyen, intégrant ces aides et corrigé des dépenses énergétiques, est 720 euros plus bas que ce qu’il aurait été si les prix étaient restés ceux de 2020, soit – 1,3 % ».

Globalement, en un an et demi, tous les prix ont augmenté par rapport à leur moyenne de 2020. Dans le détail, l’essence a pris +20%, le diesel +24%, le gaz +37%, l’électricité +5% et le fioul domestique +41%.

Qui est le plus affecté par cette baisse de pouvoir d’achat ? Tout le monde. Cependant, les ménages les plus affectés sont ceux qui habitent en dehors des villes car ils consomment plus de carburant. Leur perte de revenu après versement des aides, s’élèverait à 910 € en moyenne (– 1,7%), contre 780 € dans les villes de moins de 20.000 habitants (– 1,6%), 650 € dans celles de 200.000 à moins de 2 millions d’habitants (– 1,2%), ou encore 580 € pour les ménages vivant dans l’agglomération de Paris.

Et ce n'est pas fini...


 

 

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Il y a urgence à augmenter fortement le Smic et les salaires

20 Décembre 2022, 16:03pm

Publié par Bernardoc

En 2022, le montant du Smic a été augmenté par trois fois (1er janvier, 1er mai et 1er août), soit une augmentation totale de 5,6% sur l’année. Ce n’est pas un choix délibéré du gouvernement mais seulement la mise en œuvre d’un mécanisme de revalorisation automatique du salaire minimum, lorsque l’inflation des prix s’envole.

Au 1er janvier 2023, c’est encore cette revalorisation automatique qui sera appliquée et uniquement cela (soit +1,8%).

Le gouvernement, égal à lui-même, s’appuie comme chaque année sur l’éternelle rengaine du « groupe d’experts » pour refuser le moindre coup de pouce aux salaires de 2,5 millions de salariés du secteur privé !

Avec une inflation galopante (ex. : +10% sur les produits de consommation courante dans la grande distribution) qui percute de plein fouet les salarié.es aux revenus les plus faibles, qui peut encore oser penser qu’on peut vivre dignement avec 1709 euros bruts par mois (11,27 euros/heure) ?

Augmenter le smic et tous les salaires pour permettre à toutes et tous de vivre de son salaire, pour reconnaître les qualifications, pour participer au
financement de la protection sociale et améliorer le niveau des pensions, la CGT propose de porter immédiatement le Smic à 15 euros/heure soit 2 000 euros bruts mensuels (base 32h par semaine).

Cela doit s’accompagner de l’augmentation de tous les salaires. Pour cela la CGT propose :

l’augmentation automatique de l’ensemble des minima dans les branches, à chaque revalorisation du Smic, pour éviter que les grilles salariales ne se réduisent comme peau de chagrin ;

l’ouverture immédiate des négociations dans l’ensemble des branches professionnelles pour créer la dynamique salariale appelée des salariés ;
 la remise en place urgente d'une échelle mobile des salaires c'est-à-dire l'indexation automatique de tous les salaires sur le coût de la vie. Cette mesure indispensable existe en Belgique et au Luxembourg, deux pays de l'Union Européenne.

Ce sont les salaires qui fondent la consommation des ménages ; les augmenter, c’est permettre de consommer mieux et c’est aussi soutenir les carnets de commandes des entreprises de notre pays.

La CGT sera aux côtés de tous les salariés du privé et agents de la fonction publique mobilisés pour leur salaire et leur retraite.*

Et ce n'est pas fini...
 

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Parmi les perles l'IHS-33.

19 Décembre 2022, 16:40pm

Publié par Bernardoc

Découvert ce matin : la revue L'enseignement public  de la FEN d'août 1954 (j'avais 5 ans!) qui présentait les différents textes soumis aux votes des congressistes.

A l'origine le papier était blanc et la revue contenait, encartée, le supplément MGEN. Cela a duré jusqu'au début des années '70 me semble-t-il.

Les temps changent : la FEN et sa revue ont disparu et la MGEN tend à ressembler de plus en plus à une compagnie d'assurances, semble avoir perdu son caractère militant et n'envoie sa revue que si on en fait la demande.

Et ce n'est pas fini...

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