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Le blog de Bernard SARLANDIE

Qu'il s'en aille !

31 Mai 2014, 06:40am

Publié par Bernardoc

"Je considère qu’on est mal payé", a récemment déclaré l’ancien ministre de la défense Gérard LONGUET dans un article de Publicsenat consacré à de possibles détournements d’argent public par un groupe de sénateur. Selon lui, l’indemnité versée aux parlementaires ne suffit pas à couvrir les frais quotidiens.

A l’instar de son compère député Henri GUAINO, Gérard LONGUET considère que, au vu des frais engendrés par l’exercice de sa fonction, l'indemnité représentative de frais de mandat (IRFM) que perçoivent les sénateurs pour financer leurs activités politiques n’est pas suffisante.

D’un montant de 72 446 euros par an, (6 037,23 euros nets par mois) l'IRFM n’est pas imposable. En outre les sénateurs touchent des indemnités mensuelles de 7 100 euros brut.

L’élu a par ailleurs confirmé avoir reçu "un jour" un chèque l’Union républicaine du Sénat d’un montant "entre 3000 et 4000 euros" précise- t-il. Toutefois, le sénateur n’a pas su apporter de justification à ce virement : "il n’y avait pas de motivation. Un jour, j’ai reçu un chèque. Quand on est membre de l’UMP au titre de l’URS, on reçoit un chèque", poursuit-il

"Je fais 50 000 à 60 000 km par an dans mon département", explique l’homme politique de 68 ans. "Il y a les frais d'essence. Si vous entretenez une permanence, il y a le loyer, le chauffage. Tout ça prend la quasi-totalité de l'IRFM. C'est sans parler de la double résidence quand on a des responsabilités à Paris". Et tout ça n’est "pas gratuit", conclut-il. D’après planet.fr

Il a pas honte l’ancien d’Occident ? Visiblement il a l’air fatigué ; qu’il prenne sa retraite et je suggère que celle qui lui sera versée soit celle revendiquée par la CGT : 1 700 € nets par mois. Sans rien faire, il devrait bien vivre…ou alors il y aurait une faille dans la justice.

Et ce n’est pas fini…

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L'esperanto au Haillan.

30 Mai 2014, 22:46pm

Publié par Bernardoc

         Pour la deuxième fois en sept ans (ce qui n’est, pour le moins, pas excessif), on a parlé de l’esperanto au Haillan. Ceci s’est produit dans le cadre de la tournée européenne de Miguel Angel GONZALEZ ALFONSO, espérantiste cubain (et ancien prof d’anglais…tiens…tiens…) que nous accueillions à son arrivée de Limoges et avant son départ pour Gujan-Mestras. Son étape girondine se terminera à Galgon, avant de partir pour Montendre (Charente maritime), d’où il rejoindra Amiens avant de visiter le centre de UEA (Universala Esperantista Asocio) à Rotterdam, avec un crochet par l’Allemagne.

         La conférence qu’il présentait était : « Cuba au XXI° siècle, présent et futur ». J’avais sollicité France-Cuba, dont je suis adhérent depuis que j’avais été élu, et dont le siège haillanais autorisait l’utilisation gratuite d’une salle communale, alors qu’Esperanto-Gironde (dont je suis encore le Président) a son siège à Cenon. De plus, c’est une association avec laquelle je me sens bien et notre coopération fut totale. La discussion s’est donc déroulée indifféremment en espagnol ou en esperanto, Claude assurant la traduction espagnole et moi-même celle en esperanto.

         Public réduit en ce jour férié et ensoleillé, mais avide d’en savoir plus sur ce pays qui pâtit depuis plus de cinquante ans du blocus étatsunien.

         Après le mojito, sans lequel une assemblée de France-Cuba ne serait pas terminée, nous avons emmené Miguel dîner sur les quais afin de lui faire profiter des magnifiques jeux de lumière qui embellissent Bordeaux.

         Et aujourd’hui, après avoir fait le tour du Haillan, jusqu’aux Girondins, l’après-midi fut consacrée à une visite rapide de la ville, afin d’inciter notre hôte à revenir, ce qu’il a promis de faire dès l’an prochain. Notre point de départ fut la Bourse du Travail, qui redevient très belle de l’extérieur et dont les trésors internes justifient amplement son classement, puis la Victoire, un crochet par la synagogue avant d’arriver au musée d’Aquitaine. La mairie et la cathédrale nous incitèrent à prendre le tramway jusqu’aux Quinconces (monument aux Girondins) avant de revenir jusqu’au Grand Théâtre et de remonter le cours de l’Intendance jusqu’à la place Gambetta pour photographier quelques mascarons et nous reprîmes le bus. Nous allons bien dormir.

         Trois photos de la conférence :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6019322179959032609?authkey=CKrp0puPr5rGWw

Et ce n’est pas fini…

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Ils continuent de sévir.

29 Mai 2014, 09:00am

Publié par Bernardoc

ATTENTION !

J’étais hier à la foire de Bordeaux : le guide du visiteur indiquait parmi les cuisinistes : Milano cucine. Mais à l’endroit indiqué, le stand s’intitule : maiorcucine. Mais ce sont les mêmes arnaqueurs : ne vous laissez pas piéger !

Republication : Depuis hier se tiennent à Bordeaux, au parc des expositions, quatre salons qui ont succédé à Conforexpo. Peut-être avez-vous l’intention de visiter le salon Vivons maison. Si vous avez dans l’idée de vous intéresser aux cuisines, peut-être allez-vous tomber sur les stands de Creaforte ou de Milano cucine. Un seul conseil : FUYEZ !

         Nous en avons été victimes l’an dernier, avec pas moins d’une demi-douzaine de bateleurs pour rabattre le chaland et vous entourlouper avec des promesses mensongères mises en avant pour, soi-disant, vous faire une ristourne. Naïfs, nous y avons cédé et nous avons eu une (belle) cuisine à la date prévue.

         Mais, alors que le prix de ces vendeurs était au moins de 25% plus cher que chez leurs concurrents, nous avons eu la désagréable surprise d’apprendre que les poseurs (un sous-traitant de plus) ne posaient que les meubles et étaient tout à fait incapables de s’occuper des branchements de l’eau, du gaz ou de l’électricité, ce qui augmentait le prix que nous avons payé d’environ 25% supplémentaires.

         Impossible d’entrer en contact avec les représentants de la boutique, contactés pourtant dès le lendemain : aucun retour téléphonique ou électronique.

         De plus, le bon de commande que nous avons signé ne comportait aucun coupon de rétractation ; en effet, dès que le chèque était rédigé, un courrier spécial apportait le chèque à la banque, il était donc débité le jour même ; pareil lors de la livraison.

         Enfin, cerise sur le gâteau, alors que nous réclamions le règlement d’une porte sous évier, on nous réclame une somme supplémentaire pour terminer le boulot.

         Alors, vous l’avez compris : Creaforte (et en tant que Haillanais je suis bien content qu’ils aient quitté la commune) et Milano cucine : mauvaises adresses !

Et ce n’est pas fini… 

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Collecter, Classer, Conserver, Communiquer.

28 Mai 2014, 13:54pm

Publié par Bernardoc

La retraite n’est pas synonyme de retrait dans le militantisme. C’est pour cela que nombre d’entre nous, retraités, nous retrouvons au sein des Instituts d'Histoire Sociale, car nous avons besoin de veiller à transmettre non pas des leçons, mais ce que nous avons vécu, fait ou pas, réussi ou échoué, pour que les expériences servent à l’avenir.

 Faire connaître notre histoire, donner à réfléchir sur nos origines, c’est déjà une justification de la création des IHS…

Si l’on part d’une définition lapidaire de l’Histoire sociale, en disant qu’elle traite du collectif comme tel, c'est-à-dire des classes, de leurs luttes, de leurs organisations, on peut dire que l’Histoire sociale tente de saisir le passé des diverses formations sociales, comme élément des mouvements de l’histoire.

C’est sur ces bases, et dans un souci très pragmatique, que la CGT a décidé de créer en 1982 l’Institut d’Histoire Sociale et le centre confédéral d’archives.

En 1982, la CGT s’apprête à quitter son site historique, la rue Lafayette à Paris, pour aménager Porte de Montreuil, dans un grand complexe qui abritera la confédération, les fédérations, la presse, les organisations sociales.

Le ballet des camions poubelles menace la mémoire des luttes collectives de plus d’un siècle. Et Georges Séguy, qui s'apprêtait à quitter son mandat de secrétaire général de la confédération, a eu conscience du danger. Il était en cela porteur de l’héritage des fondateurs du syndicalisme qui, dès le départ, avaient su mesurer l’importance de la mémoire des faits en fixant dans les statuts des organisations 3 responsabilités premières  : secrétaire général / président, trésorier, archiviste / secrétaire.

Les livres, écrits à la plume, reliés sur toile, reprenant soigneusement les comptes-rendus des débats des organisations constituent un bien précieux, non seulement pour les organisations, mais aussi pour l’histoire (pour comprendre, avancer, progresser).

     Depuis 1982 les IHS-CGT se sont multipliés, à la fois dans les fédérations, mais aussi dans les territoires. Et aujourd’hui, il existe 12 instituts professionnels et 50 instituts territoriaux.

 

Tout Institut se fixe trois objectifs  :

 

1-  Le collectage et le traitement des informations et documents de toute nature.

 

2- La mise en œuvre d’études, de recherches et de larges confrontations.

 

3-  Contribution à l’information, la formation des militants syndicaux.

 

L’actualité nous percute souvent et une transmission des expériences, des réflexions, des travaux du passé ne peut qu’enrichir l’action au présent.

Et ce n’est pas fini…

 

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Parlons d'autre chose.

27 Mai 2014, 17:18pm

Publié par Bernardoc

            Classement établi par Bill GATES, paraît-il : les animaux les plus meurtriers pour l’homme (in planet.fr) :

 

1.    Le moustique, animal le plus meurtrier pour l'Homme (725 000 victimes par an : paludisme, ...).

 

2.    L'Homme est un danger pour l'Homme, ce qui ne nous étonne pas.

 

3.    Le ver ascaris (60 000 décès, selon l’OMS).

 

4.    Le serpent complète le podium (50 000 victimes par an).

 

5.    Les chiens assassins : 25 000 victimes par an.

 

6.    La mouche  tsétsé, la punaise et l'escargot des mers sont ex aequo avec 10 000 victimes par an pour chaque espèce.

 

7.    Le ténia (ver solitaire : 2 000 décès annuels engendrés).

 

8.    Le crocodile (1 000 : brrrr).

 

9.    L'hippopotame : 500 ; il n’est donc pas si placide que ça.

 

  10. La taille ne fait pas tout : l’éléphant ne fait « que » 100 victimes par an.

11. Quant aux animaux de mauvaise réputation, tels le loup ou le requin, ils arrivent loin derrière avec une dizaine de victimes chacun.

Et ce n’est pas fini…

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Le prochain concert sera plus loin.

26 Mai 2014, 00:21am

Publié par Bernardoc

         Chœurs et musique, la chorale du Haillan, vient de donner successivement deux concerts, le premier « chez nous », pour nos concitoyens, le deuxième en l’église de Ste Hélène, pour une association humanitaire en direction des enfants du Rwanda-Burundi. Le prix était modeste à chaque fois : 8 €, et pourtant les églises étaient à peine plus remplies que pour la messe. Bien entendu, tous les « amis » de FB qui s’étaient engagés n’étaient pas là. Pourtant, les éléments étaient avec nous : la « Fête des voisins » avait du mal à se tenir sous la pluie et les bourrasques le vendredi. Quant au samedi, effectivement, là nous avions du mal à rivaliser avec les finales de rugby et de football.

         Notre répertoire était renouvelé, avec pour la première fois une chanson des Beatles, et des pièces depuis Haendel jusqu’à Gainsbourg en passant par Wagner et Eddy MITCHELL. Les happy few présents ont beaucoup apprécié. Mais nous nous situons dans la moyenne du refus de la culture dans notre cité, quand même spécialisée dans le « tout pour le foot, le tennis et la pelote ». Ce qu’il y a de grave, c’est qu’un grand nombre de Haillanais vont dire après qu’il ne se passe rien dans leur cité, et que notre ville n’est qu’une cité-dortoir.

         Personnellement, je ne vais jamais, ou très rarement, à Bordeaux et dans les villes voisines, trouvant que l’offre culturelle est suffisante sur place, même s’il y aurait encore moyen de l’améliorer ; je pense notamment au Printemps des Poètes, remarquablement ignoré, à la Fête de la musique, célébrée une fois tous les sept ans lorsqu’elle tombe un samedi, ou la fête de l’Europe qu’on m’a toujours refusé d’organiser en clôture de la Fête du printemps.

         Cependant, nous ne désespérons pas et comme Panik Scénik qui va continuer, même si L’Entrepôt lui est refusé, Chœurs et musique continuera de recruter et de produire des spectacles de qualité que nous tenons à la disposition des associations girondines qui nous solliciteront pour des animations, comme Caudéran à Noël dernier.

         Quelques photos des deux concerts sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6017355216011930545?authkey=CMWC5LDg8abt8AE

Et ce n’est pas fini…

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En marge du congrès.

25 Mai 2014, 10:36am

Publié par Bernardoc

         Le VIII° congrès de mon syndicat vient de se dérouler à Seignosse pendant une semaine. Je n’avais pas l’intention d’y participer en tant que délégué (j’avais participé au congrès extraordinaire de janvier 2013), mais je comptais y aller deux jours pour tenir le stand de l’IHSA. Or, depuis la dernière Commission Exécutive de la Section Nationale des Retraités, j’étais affublé de la casquette de l’IHS-Ferc. J’y ai donc passé la semaine, en m’octroyant une petite demi-heure de plage, le maximum que le temps automnal a autorisé !

         J’étais donc mandaté pour intervenir à la tribune et présenter l’IHS et l’importance qu’il revêt pour notre mémoire collective. Je suis habitué à intervenir en public, mais j’avais quand même la gorge sèche lorsque j’ai délivré mon message. Je crois qu’il est bien passé si on le mesure à l’aune des applaudissements. Ma présence a également été mentionnée dans le journal quotidien du congrès et les ventes de livres et revues ont atteint un niveau correct, me semble-t-il, mais davantage pour le national que pour l’Aquitaine. J’avais pourtant pris soin d’apporter des revues sur le syndicalisme landais, et je pensais que cela aurait pu intéresser les congressistes : que dalle ! En revanche, les livres, déjà anciens, sur le centenaire de la fusillade de Fourmies sont tous partis.

         J’ai trouvé que l’ambiance était moins tendue que lors du congrès extraordinaire ; les conditions d’hébergement n’y étaient sans doute pas étrangères. Il m’a semblé aussi que cette édition était relativement jeune et mixte. Intéressant aussi de noter que deux femmes bornaient les limites d’âge : 77 et 27 ans.

         Quelques photos sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6017275352899673441?authkey=CMGtjs71ys-RoQE

Et ce n’est pas fini…  

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L'abjection.

24 Mai 2014, 17:03pm

Publié par Bernardoc

         Abject : digne du plus grand mépris, qui inspire une violente répulsion ; synonymes : ignoble, infâme, vil. Micro Robert.

         Je discutais à midi avec deux collègues qui ont eu quelques responsabilités départementales et j’ai appris qu’un de mes anciens supérieurs hiérarchiques s’était répandu devant elles  à mon sujet, n’hésitant pas à me calomnier et à mettre en cause ma façon de m’habiller, et ce de façon tout à fait erronée et malveillante, m’accusant, car c’est bien de cela qu’il s’agissait, de venir travailler en tongs et s’en prenant à la qualité de mes chemises. Alors que depuis mes années de pionnicat je n’ai jamais travaillé ne serait-ce qu’en jeans, et que la cravate, plus ou moins occasionnelle (voir plus haut) a toujours fait partie de mes accessoires de travail !!!

         Mais on est tombé sur la tête ! J’ai été prof pendant une quinzaine d’années, puis personnel de direction pendant une durée à peu près équivalente. Que n’aurait-on pas dit si je m’étais permis de faire ce genre de réflexion à un élève ou à un prof ? Les parents d’élèves, les syndicats me seraient tombés dessus…et à juste titre. Depuis quand l’habit fait-il le moine dans l’éducation nationale ? Laissons cela au privé à la rigueur, et appliquons-nous à transmettre les valeurs républicaines, non seulement à l’école, mais dans tous nos actes de la vie quotidienne. C’est ce que je me suis appliqué à faire depuis un certain nombre de décennies, et lorsque je tombe sur d’anciens élèves ou d’anciens collègues, je me dis que je n’ai pas si mal réussi.

         Heureusement que je suis parti à la retraite à l’âge normal, c’est-à-dire 60 ans (contrairement à ce que pensent le PS et l’UMP) et que je viens d’apprendre seulement aujourd’hui les faits ci-dessus, sinon cela aurait mérité, pour le moins, un dossier de harcèlement.

Et ce n’est pas fini…

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Non, je n'étais pas en vacances !

23 Mai 2014, 16:38pm

Publié par Bernardoc

  Après ces quelques jours de silence, suite à ma présence au VIII° congrès national de la CGT éduc'action (j'en parlerai sûrement dans les jours à venir), le blog devrait reprendre demain son rythme de croisière.

Et ce n'est pas fini...

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Honteux !

19 Mai 2014, 00:31am

Publié par Bernardoc

         Si j’en crois Le Monde, La Poste a versé un dividende de 171 millions d’euros à ses actionnaires publics. Mais s’il y a des actionnaires « publics », cela signifie qu’il en a aussi de « privés », non ? Ainsi nous n’avions pas tort d’être méfiants et avons eu raison d’organiser, avec la Parti Socialiste, la grande votation pour maintenir un service public de qualité. Le PS ayant disparu – comment ça il est au gouvernement ? J’y crois pas – on voit que la politique voulue par Sarkozy est appliquée de façon tout à fait respectueuse.

         De tous temps La Poste a été une administration particulière dans la mesure où avec les timbres et les services elle parvenait à équilibrer ses comptes et ne coûtait pratiquement rien à l’Etat. Or, maintenant, nous découvrons que La Poste fait des bénéfices. Mais au lieu d’augmenter les salaires et d’embaucher de nouveaux agents pour améliorer le service, voire d’indexer le prix du timbre sur les traitements des fonctionnaires, voilà qu’elle reverse ces bénéfices à ces gros bonnets que sont l’Etat et la Caisse des Dépôts.

         Vous avez tout compris : il s’agit d’un impôt supplémentaire versé par les usagers, pardon par les « clients » qui se font ainsi plumer un peu plus.

         Et dans notre région, tous les centres de distribution se sont mis en grève les uns après les autres et ils ont fini par gagner. Ce bénéfice restant montre qu’ils avaient raison de lutter ; et moi et mes collègues élus FdG du Haillan de l’époque, avons bigrement eu raison d’aller les soutenir.

Et ce n’est pas fini…

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