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Le blog de Bernard SARLANDIE

Agrablan libertempon al vi !

17 Juillet 2012, 00:14am

Publié par Bernardoc

Mi rakontos Vjetnamion kiam ni revenos hejmen. En la universala kongreso partoprenos 845 personoj el 61 landoj. La karavano de France Esperanto konsistas el 27 partoprenontoj.

Daùrigu la legadon de mia blogo, ekzemple la artikolojn pri la UK en Kubo antaù du jaroj.

Et ce n’est pas fini…

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Bis repetita.

16 Juillet 2012, 12:14pm

Publié par Bernardoc

         « Le changement, c’est maintenant », mais pas encore dans l’Education nationale. Les profs ont été tellement malmenés par le trio Sarkozy-Fillon-Châtel que les étudiants ont compris et fuient le métier. Ainsi, cette année, alors que les moyens budgétaires étaient là, 706 profs, nécessaires ô combien ! n’ont pas été recrutés que ce soit en lettres, en maths ou en anglais. Bien sûr le doute existait encore avant les élections de savoir si les malfaisants précédents allaient être priés de se reconvertir ou si la destruction de cette belle institution allait être poursuivie et aggravée.

Les nouveaux discours laissent entendre que l’Education allait redevenir un investissement prioritaire. Mais voilà, la mort de Pompidou en 1969 ayant décidé de la date des élections, celles-ci se déroulent juste avant l’été, ce qui rend difficile un bouleversement quelconque pour la rentrée, déjà organisée, sinon finalisée. La volonté ministérielle était donc de redonner un minimum de formation aux élus du concours, tous n’ayant pas la pédagogie infuse, mais souvent, cela allait se traduire par un service de 15 heures + 3 heures supplémentaires. Intéressant financièrement, mais on fait mieux comme incitation pédagogique.

Résultat, comme l’an dernier, alors que le nombre de candidats excédait le nombre de postes à pourvoir, il y a quand même eu des recalés. Mais comme on a besoin de 706 profs, ces recalés pourront toujours postuler pour un poste de contractuel, ce qui fera économiser des heures de formation au gouvernement et qui sera, n’en doutons pas d’un grand bénéfice pour les élèves. Quant à l’entrée dans la fonction publique, ces néo-profs devront attendre une année de plus. D’ailleurs les inscriptions aux concours sont déjà ouvertes.

Et ce n’est pas fini…

        

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Marseillaise de la paix.

14 Juillet 2012, 08:55am

Publié par Bernardoc

Cette version de la Marseillaise fut d’abord chantée dans l’orphelinat expérimental de Cempuis (Oise) dirigé par le pédagogue libertaire Paul Robin (1837-1912.)

Reprise en 2009 par le groupe Chanson plus bifluorée

De l'universelle patrie
Puisse venir le jour rêvé
De la paix, de la paix chérie
Le rameau sauveur est levé (bis)
On entendra vers les frontières
Les peuples se tendant les bras
Crier : il n'est plus de soldats !
Soyons unis, nous sommes frères.

Refrain :
Plus d'armes, citoyens !
Rompez vos bataillons !
Chantez, chantons,
Et que la paix
Féconde nos sillons !


Quoi ! d'éternelles représailles
Tiendraient en suspens notre sort !
Quoi, toujours d'horribles batailles
Le pillage, le feu, et la mort (bis)
C'est trop de siècles de souffrances
De haine et de sang répandu !
Humains, quand nous l'aurons voulu
Sonnera notre délivrance !

Refrain

Plus de fusils, plus de cartouches,
Engins maudits et destructeurs !
Plus de cris, plus de chants farouches
Outrageants et provocateurs (bis)
Pour les penseurs, quelle victoire !
De montrer à l'humanité,
De la guerre l'atrocité
Sous l'éclat d'une fausse gloire.

Refrain

Debout, pacifiques cohortes !
Hommes des champs et des cités !
Avec transport ouvrez vos portes
Aux trésors, fruits des libertés (bis)
Que le fer déchire la terre
Et pour ce combat tout d'amour,
En nobles outils de labour
Reforgeons les armes de guerre.

Refrain

En traits de feu par vous lancée
Artistes, poètes, savants
répandez partout la pensée,
L'avenir vous voit triomphants (bis)
Allez, brisez le vieux servage,
Inspirez-nous l'effort vainqueur
Pour la conquête du bonheur
Ce sont les lauriers de notre âge.

Et ce n’est pas fini…

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Le changement, c'est pour quand ?

13 Juillet 2012, 08:50am

Publié par Bernardoc

         Il y a un an, nos camarades de la CGT – PSA – Aulnay révélaient que PSA avait l’intention de fermer cette usine. Encouragée par le gouvernement de l’époque, la direction démentait, se disant quasiment outragée que de tels propos aient pu lui être attribués, et affirmant « les yeux dans les yeux » que rien de ce type ne se tramait.

         Des rumeurs avaient couru à nouveau au cours de la campagne électorale, plus mollement démenties : de toute façon, rien ne se passerait avant les élections.

         Eh bien, ça y est : moins d’un mois après les résultats du deuxième tour des législatives, PSA confirme ce qu’elle s’était évertuée à taire depuis un an. Il y aura bien 8 000 licenciements, sans compter la perte des emplois induits, industriels ou de services. Pressé de réagir en direct à cette annonce, Bernard THIBAULT s’est refusé à envoyer un ordre du sommet, affirmant avec justesse que les camarades de PSA – Aulnay étaient plus à même de proposer des solutions, qui ne pourront venir qu’après des luttes, à moins que le ministère du « redressement productif » nous prépare quelque chose de social(iste).

         A propos, savez-vous ce qui s’était passé pour les usines Renault après la guerre ?  Elles avaient été nationalisées et étaient devenues la RNUR (Régie Nationale des Usines Renault). Si PSA, pour ne pas décevoir ses actionnaires et continuer à verser un salaire confortable à ses dirigeants, entend jeter à la rue des ouvrier(e)s qui ont tout donné à l’entreprise, pourquoi ne pas appliquer ce qui a marché au siècle dernier : nationalisation sans indemnité ni rachat !

Et ce n’est pas fini…

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Bravo le PRG !

12 Juillet 2012, 12:06pm

Publié par Bernardoc

         Voici au moins un parti qui a le courage d’affirmer haut et fort qu’il est pour le cumul des mandats. Et comme le PS n’a pas la majorité absolue au sénat, on peut faire le pari qu’une loi sur le non-cumul n’est pas pour cette législature. Mais le non-cumul a-t-il jamais fait partie d’un programme électoral d’un parti de la majorité actuelle ? J’ai des doutes.

         Ce matin, au poste, un élu régional vert faisait remarquer que 75% des nouveaux élus cumulaient, ce qu’il déplorait. Mais, ou alors je n’ai pas entendu, il s’est bien gardé de mentionner deux ex-candidats à la présidentielle de son parti qui sont respectivement sénatrice-maire ou député-maire.

         Quant aux élus PS qui clament leur volonté de mettre un terme au cumul, ils précisent d’abord qu’il faut se mettre d’accord sur ce que l’on appelle le cumul, car effectivement ils n’envisagent pas le mandat unique.

         Les autorités feignent de déplorer l’augmentation régulière de l’abstention, mais ne leur est-il jamais arrivé de se demander si le peuple n’en avait pas assez de voir tous ces cumulards monopoliser les représentations à différents niveaux ? Ces élus prétendent que c’est pour rester près du terrain, ou inversement pour mieux défendre les intérêts du territoire au niveau national qu’il est nécessaire de cumuler au moins deux mandats. C’est sans doute une conséquence de l’éducation farouchement individualiste dispensée par l’Education nationale où le chacun pour soi prime sur la coopération et l’encouragement à travailler ensemble.

Imaginons un député qui ne soit pas maire ni conseiller municipal, un sénateur qui ne soit pas conseiller général, un conseiller régional qui n’ait que ce seul mandat, et que tous ces élus soient obligés de se rencontrer pour travailler ensemble : la démocratie aurait sans doute fait un grand pas et si les mandats étaient également limités dans le temps, je suis persuadé que les gens reviendraient vers les urnes car ils sauraient que l’engagement auprès de leurs concitoyens ferait partie d’une attitude citoyenne qui ne se résumerait pas seulement à « Vote et tais-toi ! ».

Et ce n’est pas fini…

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Vers la fin du camping populaire ?

11 Juillet 2012, 15:36pm

Publié par Bernardoc

      Depuis une bonne douzaine d'années nous fréquentons un (très) grand camping de la côte atlantique, qui vient de gagner sa quatrième étoile. On aurait pu penser que cela se ressentirait par des prestations améliorées, même si celles qui existaient déjà nous donnaient entièrement satisfaction.     J'ai l'impression que ce n'est pas le sens vers lequel nous nous dirigeons.

   Déjà, bien entendu, une étoile ça se paie, et il est loin le temps où des panneaux publicitaires annonçaient des nuits « à partir de 15 € ».   Maintenant, en haute saison, du 14 juillet au 18 août (Bon anniversaire moi !), il faudra débourser 42 € pour un emplacement tente avec électricité, car, contrairement à ce qui existe sur d'autres terrains, l'électricité ne fait pas partie de l'équipement standard. Si vous voulez payer moins cher, venez avant le 16 juin ou après le 8 septembre, il ne vous en coûtera alors que 19 €, mais il vous faudra faire un bout de chemin pour aller vous doucher ou faire la vaisselle car à ce prix-là, on ne garde que le minimum de sanitaires ouverts.

   Régulièrement, en juillet, nous retrouvions un certain nombre de spectateurs européens dans la salle de télé pour l'arrivée des étapes du Tour de France. En cette année où les JO de Londres succéderont au Tour de France, la direction du camping a décidé de supprimer ce service : les campeurs n'ont qu'à se faire inviter dans un mobile- home ou un bungalow !

Deux soirs par semaine il y avait également une séance de cinéma, ce qui permettait de revoir des films aimés ou de rattraper son retard : Le jour d'après, Dialogues avec mon jardinier, Bienvenue chez les Ch'tis,...sont des films que j'ai découverts lors de mes séjours. Exit le cinéma !

   Peut-être l'an prochain la piscine va-t-elle être rendue payante pour favoriser encore davantage la sélection ?

   Déjà, je l'avais évoqué précédemment, le GCU vient d'augmenter fortement ses tarifs pour certaines catégories de campeurs. Alors toute la frange de la population payée au Smic ou en dessous va-t-elle être contrainte de se priver de ce mode de vacances qui était censé être bon marché ? Ce n'est peut-être pas un hasard si, avant le 14 juillet, alors que le tarif n'est « que » de 33 €, un grand nombre d'emplacements sont libres. Ah ! Il est loin le temps où Léo LAGRANGE et le Front Populaire avaient compris que les vacances hors du quartier étaient une nécessité.

Et ce n'est pas fini...

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Imagi'scène.

9 Juillet 2012, 08:41am

Publié par Bernardoc

         C’est le festival de théâtre de rue de Terrasson. N’oublions pas que cette ville du Périgord possède également des « jardins imaginaires ». Nous y étions samedi, d’abord sous un soleil écrasant à 18 heures pour un spectacle de la troupe Burattini. Comme pour un cirque, il fallait faire la queue au guichet pour obtenir un ticket, mais gratuit.

         Composée de deux personnages, un fils et sa mère handicapée, cette troupe nous a conté une fable à la fois surréaliste et profondément humaniste qui, à travers l’histoire d’un oiseau extraordinaire, a prôné au public de vivre selon les principes républicains qui figurent depuis plus de deux cents ans sur le fronton des édifices publics, notamment celui de Fraternité. Le public a plusieurs fois été sollicité et les retardataires ont tout de suite été mis dans le bain. Vers la fin du spectacle, une machinerie absolument ahurissante nous a été dévoilée avant de laisser place à un moment très émouvant entre la « mère » et le « fils », à tel point que je me suis demandé jusqu’à quel point nous étions encore dans le jeu ou si nous étions revenus dans la réalité.

         Après un repas dans la vieille ville, nous nous sommes installés sur les marches qui montent à l’église, jusqu’à ce que nous en soyons chassés par la pluie. Au bout d’un moment, la pluie ayant cessé, nous sommes revenus mouiller nos fesses sur ces gradins naturels pour assister au spectacle d’Immo. Cet artiste allemand est bourré de talents : il jongle, il joue de la musique, il fait l’acrobate, il joue la comédie, il fait des tours de magie, voire des actions mentalistes, et surtout il sait remarquablement faire participer les spectateurs à son jeu. S’il passe par chez vous (voir sur son site www.coulissimmo.fr ), précipitez-vous pour l’applaudir, car vous pourrez difficilement faire autrement !

         Enfin, la soirée aurait dû se terminer par une déambulation pyrotechnique, mais la pyrotechnie venait du ciel et nous avons préféré regagner nos pénates.

         Quelques photos du spectacle en suivant le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Spectacles?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNHD9f7SouHCGA&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Bac.

8 Juillet 2012, 21:57pm

Publié par Bernardoc

         Les résultats viennent d’être publiés : presque 80% des candidats admis, ce qui peut paraître bien, mais qui est encore loin de l’objectif fixé par Chevènement, je crois, lorsqu’il a succédé à Savary comme ministre de l’Education nationale de Mitterrand. Le but à atteindre était le bac pour 80% d’une classe d’âge, or tous les jeunes ne passent pas encore le bac. Pour essayer de permettre à un plus grand nombre d’atteindre ce niveau de culture générale, furent créés les bacs-Pro(fessionnels) que les élèves titulaires d’un BEP (Brevet d’Enseignement Professionnel) pouvaient passer en deux ans…s’ils trouvaient une place dans ces filières, hélas pas assez nombreuses.

         Or, que constatons-nous cette année ? Si les résultats sont stables ou en augmentation pour les séries générales ou technologiques, ils sont en recul pour les bacs-Pro. Comment cela se fait-il ? Et bien nous avons là le résultat de la première série des bacs-Pro 3 ans. En effet, avec la rage du gouvernement précédent de supprimer un maximum de postes dans l’Education nationale, une des solutions trouvées fut de faire passer la durée d’études pour le bac-Pro de quatre à trois ans. Quelle économie de professeurs en raccourcissant de 25% la durée d’études, mais aussi quelles difficultés supplémentaires pour les élèves ! Les élèves orientés vers l’enseignement professionnel à la fin de la 3ème le sont en général car ils éprouvent quelques difficultés en enseignement général, même si, et heureusement, quelques-uns choisissent délibérément, mais avec de moins en moins de facilité, une section professionnelle qui les attire (photo, métiers de la mode,…).

         Or, ces élèves, à qui l’on proposait une pédagogie adaptée et une année supplémentaire pour atteindre le bac, se voient contraints d’accélérer leur rythme d’apprentissage, alors qu’ils découvrent un enseignement nouveau. Résultat : de nombreux abandons en cours d’études et un échec au bout du compte.

         Si « le changement c’est maintenant », puisse le ministre de l’Education nationale prendre en compte la spécificité des élèves de l’enseignement professionnel et leur donner à nouveau toutes leurs chances comme cela était le cas lorsque j’ai commencé ma (longue) carrière.

Et ce n’est pas fini…

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La réjouissance.

7 Juillet 2012, 07:40am

Publié par Bernardoc

         On n’allait tout de même pas quitter l’Irlande sans visiter une distillerie et goûter le whiskEy ! J’aurais espéré que l’on s’arrête à Tullamore pour voir d’où venait le « Tullamore dew », mais nous nous sommes arrêtés à Kilbeggan, dans le comté de Westmeath, pour visiter une des dernières distilleries indépendantes ; en fait elle a été rachetée par les Américains il n’y a pas très longtemps, et lorsqu’elle fonctionne, quelques fois par an, le whiskey n’en sort qu’après une double distillation (comme le whisky écossais). Alors que l’originalité du whiskey est une triple distillation, tandis que le bourbon américain, lui, n’en subit qu’une seule.

         Après la visite complète des installations, nous avons bien entendu eu droit à une dégustation, mais sans pouvoir acheter de bouteille, car il est interdit de vendre de l’alcool le dimanche avant midi (messe oblige ?).

         Rien de bien intéressant avant l’arrivée pour le déjeuner à Dublin, et le soir, après le repas à l’hôtel, en route pour The merry ploughboy pub, à une demi-heure de route, en pleine campagne mais toujours à Dublin. Là aussi c’était une usine à touristes et il y avait plusieurs centaines de convives qui y étaient venus pour dîner. Nous nous sommes contentés de boire et nous avons pu apprécier le groupe, qui était bon, ainsi que les cinq danseurs. J’ai tenté quelques secondes de film mais je n’arrive pas à les mettre en ligne. Le concert s’est achevé sur des chansons prônant l’unité de l’Irlande, et, comme à l’habitude, par l’hymne irlandais. Je pense que si nous avions entonné La Marseillaise, cela aurait été apprécié.

         Le lendemain, même si le vol se déroulait au moment du repas, Aer Lingus, comme à l’aller, vendait tout ce qu’on pouvait consommer. Dommage qu’ils tentent de s’aligner sur Ryanair, car cela fait tâche dans la qualité de l’accueil.

         Voici le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/DistillerieSpectacle?authuser=0&authkey=Gv1sRgCIKO14juqcixywE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Le Connemara.

6 Juillet 2012, 07:17am

Publié par Bernardoc

         Ça sent la fin : demain nous rentrons sur Dublin. Nous allons donc faire notre étape la plus nordique, avec un circuit qui nous fera découvrir les lacs et la côte de cette terre sauvage.

         Le premier tronçon nous emmène de notre hôtel de Limerick jusqu’à Galway où nous visitons la majestueuse et imposante cathédrale ornée de beaux vitraux et avec du marbre omni présent tant au sol que dans différentes parties décoratives. Pourtant, de l’extérieur, elle ne paie pas de mine : c’est une massive construction de grès très récente (1965), construite sur le site de l’ancienne prison.     Avant d’y pénétrer, quelques photos sur le pont Salmon Weir qui enjambe le Corrib pour immortaliser les pêcheurs de saumon. Mais comme nous étions partis pour 300 km de trajet, nous n’avons pas eu le temps de nous promener dans cette ville jumelle de Lorient. Intéressant de se souvenir que c’est ici, dans le quartier de Claddagh, qu’est née la fameuse bague au cœur couronné.

         Ensuite nous longeons par sa rive sud le plus grand lac jusqu’à Maam Cross, carrefour au milieu des tourbières autour duquel se déroulait un marché aux bestiaux (entre autres) et siège d’une chaumière où avait été tourné par John Ford, en 1952, L’homme tranquille, dont les stars étaient John Wayne et Maureen O’Hara. Des personnages en cire sont à l’intérieur, mais pas très ressemblants.

         Après cette halte, nous tournons à droite pour nous diriger vers Leenaun, au fond d‘un fjord, étape restauratrice, où nous avons eu la surprise de nous faire servir par un lycéen toulousain en stage dans cet hôtel.

         Un petit détour vers le site de l’abbaye de Kylemore, où seule la boutique nous était accessible avant de prendre la route vers la côte  sud puis retour par Maam Cross et transport via Galway jusqu’à l’hôtel Carlton de Ballinasloe, ville qui a fourni le cheval préféré de Napoléon !

         Quelques photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Connemara?authuser=0&authkey=Gv1sRgCOrvrcrajOrdrAE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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