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Le blog de Bernard SARLANDIE

Mounaques de Noël

19 Novembre 2023, 20:47pm

Publié par Bernardoc

Toujours sympa cet accueil à Vensac !

Et ce n'est pas fini...

Mounaques de NoëlMounaques de Noël
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Une belle mise en valeur.

18 Novembre 2023, 18:09pm

Publié par Bernardoc

 Comme tous les deux ans, les Arts du CTL montraient à la population les plus belles réussites de leurs seize ateliers. Et la foule était présente, tellement dense ce matin que je n'ai même pas pu y distinguer les représentants de la municipalité.

 Outre les différentes expositions qui pourraient inciter les gens à venir adhérer à l'une des sections du CTL (Centre du Temps Libre pour ceux qui ne connaîtraient pas encore cet acronyme) il y eut trois spectacles vivants : la danse, le défilé de mode et le théâtre. cette année je ne jouais pas, mais j'ai quand même présenté la section, regretté le trou au niveau adolescents et informé que même si nous ne figurions pas sur le programme de L'Entrepôt, c'est bien nous qui clôturerons la saison les 29 et 30 juin prochains.

 Un copieux buffet clôturait la matinée, cela aussi est une belle tradition (comme la manzana lors des voeux de l'ancien maire !).

Et ce n'est pas fini...

Une belle mise en valeur.
Une belle mise en valeur.
Une belle mise en valeur.
Une belle mise en valeur.
Une belle mise en valeur.
Une belle mise en valeur.
Une belle mise en valeur.
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Une belle mise en valeur.
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Un bon dessin...

15 Novembre 2023, 18:25pm

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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UN PLFSS pour 2024 DANGEREUX et IRRESPONSABLE

8 Novembre 2023, 18:13pm

Publié par Bernardoc

Communiqué de l'Union Confédérale des Retraités CGT


Avec un ONDAM (objectif national de dépenses de l’assurance maladie) en augmentation de 3,2 %, très inférieur à l’inflation pour la 2 e année consécutive, de nouvelles coupes dans les droits sociaux des assurés sont programmées et la situation catastrophique du système de santé va s’aggraver notamment à l’hôpital.

A contrario, un plan d’urgence de l’accès aux soins doit être décrété pour pouvoir accéder à des soins de qualité partout.

Le projet de loi pour le financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2024 réaffirme la prise de contrôle de l’État sur la Sécurité sociale. Il n’est qu’une mise en musique de la trajectoire dictée par les ministres de l’ Économie et des comptes publics.

Leur priorité est de réduire la dette publique et de ramener le déficit public de 4,7 % en 2022 à 2,7 % en 2027 tout en augmentant les marges des grandes entreprises et au mépris des besoins sociaux.
Comme pour les services publics, une nouvelle crise d’austérité est programmée pour la Sécurité sociale.

Le gouvernement fait toujours plus payer aux assurés sociaux le trou qu’il continue de creuser (déficit attendu : 11,4 milliards d’euros dont 9,3 pour l’assurance-maladie). Ce sont 3,5 milliards d’économies fixés pour les dépenses de santé. Il n’a pas attendu le PLFSS 2024 pour doubler les franchises concernant l’achat de boites de médicaments ainsi que
la participation forfaitaire chez le médecin.

Les assurés sociaux paient encore plus de leur poche et, dans le même temps, de plus en plus de personnes (autour de 30 %) ne peuvent plus se soigner faute de moyens pour pallier la pénurie de médecin dans les territoires. Les pharmaciens et les chirurgiens-dentistes vont être mis à contribution, les uns pour délivrer des antibiotiques (cystite aiguë, angine) sans prescription médicale préalable, les autres pour limiter les urgences de soins dentaires.

Au contraire, nous exigeons l’ouverture de centres de santé publics avec plus d’étudiants en médecine formés pour irriguer tous les territoires.

Le PLFSS acte une nouvelle fois des exonérations de cotisations (notamment pour les entreprises) à hauteur de 88 milliards d’euros. Elles ont été multipliées par 3,5 depuis 10 ans et elles ont doublé durant le seul premier quinquennat d’Emmanuel Macron.

L’EXIGENCE D’UNE GRANDE LOI CADRE SUR LE VIEILLISSEMENT ATTENDRA ENCORE !

Plutôt que de mettre en œuvre sa promesse de 2019 annonçant une loi programmatique pour le grand âge, le gouvernement continue son « saupoudrage de mesurettes » dans le PLFFS.

Alors que 200 000 embauches sont nécessaires dans les EHPAD et 100 000 pour le secteur de l’aide à domicile, le PLFSS acte seulement 6 000 soignants supplémentaires en EHPAD dans un objectif de 50 000 d’ici 2030 (objectif repoussé de 3 ans par rapport à la LFSS 2023).

L’absence de mesures nouvelles sur le domicile soulève également une très forte incompréhension.

Au regard des enjeux liés au vieillissement de la population, il ne sera pas possible de répondre aux besoins croissants des personnes sans une progression plus importante des moyens affectés, qu’ils soient humains ou financiers.
La branche autonomie, créée en 2021, (loi du 7 août 2020) en déficit chronique depuis sa mise en place, n’est pas capable de répondre aux besoins croissants.

²Seule une Sécurité sociale intégrale couvrant le droit à l’autonomie par sa branche maladie, alimentée par des recettes supplémentaires (augmentation des salaires et pensions, des emplois avec l’arrêt des exonérations de cotisations sociales à tout va), pourra faire face aux enjeux. Nous avons besoin d’une politique ambitieuse pour l’autonomie nécessitant de construire une vision globale et de penser chaque mesure dans un ensemble cohérent.

Cette vision globale (que seule une loi progressiste peut permettre) continue de manquer actuellement et nuit à la lisibilité des nombreuses mesures prises dans chacune des lois de financement de la Sécurité sociale pour améliorer les droits des personnes.

Dernière minute : la ministre des Solidarités et des familles anime une feuille de route grand âge, pour le 17 novembre, suivi d’un débat au parlement dans la semaine du 20 novembre.

Ne pas donner les moyens nécessaires à la Sécurité sociale, c’est délibérément mettre en danger une grande partie de la population.
Nous devons continuer à nous mobiliser pour que le budget de la Sécurité sociale réponde aux besoins de la population.

Et ce n'est pas fini...
 

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Le législateur doit résister aux pressions des plateformes

7 Novembre 2023, 11:06am

Publié par Bernardoc

Communiqué de la CES du 31 octobre 2023

(Confédération Européenne des Syndicats)


 

Les syndicats appellent les politiques à résister à l’intense lobbying des entreprises de plateforme et à garantir de vrais droits aux livreurs, aux chauffeurs de taxi, aux soignants et autres travailleurs.

Comme le montre la bibliothèque publicitaire Meta, Uber a bombardé les médias sociaux en Belgique avec plus de 100 publicités depuis le 25 septembre dans le but d’affaiblir la directive européenne sur le travail de plateforme.

L’entreprise a déjà dépensé plus de 5 millions d’euros depuis 2013 pour faire pression sur l’UE et la dernière tentative en date intervient à l’approche des négociations sur le texte final de la directive prévues le 9 novembre.

La Confédération européenne des syndicats (CES) riposte aujourd’hui avec son propre spot vidéo dénonçant les tactiques de lobbying agressives d’Uber et plaidant pour une directive forte sur le travail de plateforme.

Le Secrétaire confédéral de la CES Ludovic Voet a déclaré à ce sujet :

« Les lobbyistes des plateformes dépensent énormément d’argent en publicité parce qu’ils savent que leur modèle économique est bancal car basé sur la négation des droits les plus élémentaires de leurs travailleurs. »

« Le législateur se doit de résister à ce lobbying agressif et présenter une directive forte sur le travail de plateforme afin de garantir qu’Uber et les entreprises de ce secteur se conforment finalement aux mêmes règles que les autres employeurs. »

« Au lieu de gaspiller leur argent en publicité, les plateformes devraient correctement payer leurs travailleurs. »

Et ce n'est pas fini...

 

 

 

 

 

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Bénévolat ?

6 Novembre 2023, 11:48am

Publié par Bernardoc

Par Cyprien Boganda in L'humanité du 6 novembre 2023


Ce lundi 6 novembre, les femmes commenceront à travailler gratuitement jusqu’à la fin de l’année, selon les calculs du collectif féministe Les Glorieuses. L’Humanité s’est procuré plusieurs bilans sociaux d’entreprises françaises affichant des scores excellents à l’index égalité. L’occasion de dresser le vrai bilan de l’outil lancé en 2018 par le gouvernement pour réduire les inégalités dans les entreprises.

C’était en novembre 2017. Dans un discours enflammé, le chef de l’État érigeait l’égalité hommes-femmes en grande cause nationale de son quinquennat, et déclarait la guerre aux discriminations pesant sur les femmes, « à l’embauche et au cours de leur carrière professionnelle ». Six ans plus tard, il pourrait prononcer le même discours.

Selon l’Insee, les inégalités salariales ont certes continué à se réduire, comme c’est tendanciellement le cas depuis 2000, mais les revenus des femmes sont toujours inférieurs de 24,4 % à ceux des hommes. Et, ce lundi 6 novembre, à 11 h 25, elles commenceront à travailler gratuitement, selon les estimations du collectif Les Glorieuses.

Les 5 indicateurs de l’index

À ses détracteurs qui l’accusent d’immobilisme, l’Élysée brandit souvent l’index de l’égalité professionnelle, censé mesurer les niveaux d’inégalité au sein des entreprises afin de les inciter à s’amender.

Tous les ans, les sociétés de plus de 50 salariés ont pour obligation de publier les résultats d’une autoévaluation, notée sur 100 points, composée de 5 indicateurs : les écarts de rémunération hommes-femmes, des augmentations individuelles, de répartition des promotions, le nombre de salariées augmentées à leur retour de congé maternité et la parité parmi les 10 plus hautes rémunérations. En cas de note globale inférieure à 75 points, les entreprises doivent publier des mesures de rattrapage.

En mars, l’Institut des politiques publiques (IPP) a publié une analyse concluant que l’index promu par le gouvernement n’avait probablement servi à rien. D’abord, seulement 50 % des entreprises normalement assujetties déclareraient une note, ce qui signifie que les trois quarts des salariés du secteur privé échappent à l’index.

Ensuite, « les entreprises de moins de 50 salariés (non assujetties à l’index) et celles de plus de 50 salariés ont des trajectoires remarquablement parallèles en termes d’inégalités hommes-femmes, écrit l’IPP. On n’observe pas de changement pour les entreprises assujetties après la mise en place de l’index en 2018 ».

Une réalité que ne reflètent pas les résultats communiqués par le gouvernement. En 2023, la note moyenne déclarée par les entreprises atteint 88/100. Est-ce parce qu’elles ont fourni un effort remarquable ? En réalité, l’index cumule les biais méthodologiques, qui minimisent les inégalités. C’est le cas des augmentations de salaire.

Les entreprises ont pour obligation de rendre public le nombre de femmes bénéficiaires, mais pas les différences de montants. Autrement dit, à proportion de femmes revalorisées équivalentes, l’entreprise gagne des points, même si elle a augmenté ses salariées de 10 euros et leurs collègues masculins de 200.

 Par ailleurs, l’index ne permet pas vraiment d’évaluer la réalité du « plafond de verre » auxquelles se heurtent les femmes. L’Humanité s’est procuré plusieurs bilans sociaux d’entreprises françaises affichant des scores excellents à l’index égalité. Decathlon se vante, par exemple, sur son site Internet, d’avoir décroché une note de 89/100. Néanmoins, ce bon résultat ne dit rien de la sous-représentation des femmes à des postes à responsabilité : d’après les bilans sociaux, elles ne représentent que 34 % des cadres de l’entreprise.

À Carrefour (les supermarchés se targuent d’avoir obtenu un flamboyant 94/100), la situation est un peu plus reluisante, mais on observe aussi une surreprésentation des femmes parmi les employés (56,4 %) et une sous-représentation parmi les managers (43,7 %). Le géant de la grande distribution reconnaît par ailleurs ne compter que 25,3 % de femmes directrices.

Les deux groupes se félicitent pourtant de multiplier les formations destinées à cultiver les « aptitudes » des femmes au management – chez Carrefour, un programme dédié leur permet ainsi « de travailler leur posture de leaders ».

« Chez nous, la direction essaie aussi de développer le « leadership au féminin », ironise Sébastien Chauvin, délégué CFDT chez Décathlon. Mais il me semble plus pertinent de changer la mentalité des hommes qui recrutent à des postes à responsabilité, plutôt que de laisser entendre que c’est celle des femmes qui poserait problème » !

 L’un des points aveugles les plus criants de l’index concerne les écarts de rémunération. L’index n’oblige pas les entreprises à rendre publique la ventilation des salaires par catégories. Teleperformance revendique ainsi une note de 39/40 pour l’item « écart de rémunération des femmes et des hommes ». Les bilans sociaux montrent cependant que, si les écarts sont très faibles pour les employés, ils explosent chez les cadres, où les femmes sont payées 15 % de moins que leurs collègues masculins. C’est particulièrement vrai pour celles qui viennent d’être nommées, payées 35 % de moins que les hommes.

Ensuite, pour une raison assez inexplicable, les entreprises qui déclarent leurs écarts de salaires bénéficient d’un « seuil de tolérance » de 5 points, autrement dit, un écart affiché de 5 % peut signifier un écart réel de 10 %.

Dernier biais méthodologique, l’index ne permet pas d’évaluer l’effet des temps partiels : les écarts de salaire sont exprimés en équivalents temps plein. C’est pourtant la surreprésentation des femmes dans les temps partiels subis qui explique une part non négligeable des inégalités de revenu. Chez Décathlon, par exemple, elles occupent 60 % des temps partiels de l’entreprise, ce qui n’empêche pas le groupe d’afficher un beau 39/40 pour l’indicateur d’écart des rémunérations.

Lors de la Conférence sociale, en octobre, la première ministre a fini par admettre que son index nécessitait d’être remanié. Une concertation doit se tenir entre syndicats et patronat pour concocter un nouveau baromètre plus efficace… Et faire taire définitivement les critiques ?

Et ce n'est pas fini...

 

 

↩︎

 

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Dernière parution

5 Novembre 2023, 14:00pm

Publié par Bernardoc

 Comme tous les mois je suis allé acheter mon mensuel préféré chez mon marchand de journaux habituel. Plus ça va, plus j'apprécie ce magazine engagé dont la profondeur des analyses contribue beaucoup à l'éducation populaire. Contrairement à ce que vous pouvez lire sur le bandeau, les dessins ne sont pas là seulement pour se détendre, mais certains sont de véritables éditos.

 Outre les chroniqueurs habituels, il y a des invités et ce mois-ci, c'est Christophe, prof qui termine sa chronique ainsi : "On n'en veut pas de votre Légion d'honneur, on aimerait juste faire notre boulot sans se faire buter!"

Et ce n'est pas fini...

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"La question n'est pas de savoir si le wokisme s'autodétruira, mais quand"

4 Novembre 2023, 17:59pm

Publié par Bernardoc

In Marianne du 3 novembre 2023 (début)

Dans « Comprendre la révolution woke », paru dans la collection « Le Débat » de Gallimard, le jeune essayiste Pierre Valentin livre une synthèse qui rebat les cartes du débat sur le mouvement woke. Aussi bien sur ses origines, ses contradictions, que sur la façon dont cette tendance idéologique risque de finir (mal).

Il y a parfois, en France, une tendance qui consiste à dire que face au retour du tragique, du réel, les militants woke accepteront de laisser de côté leur paradigme intellectuel binaire pendant un certain temps. Cela ne s’est pourtant vérifié ni pour la crise du Covid-19, ni pour la guerre en Ukraine. Avec les agissements du Hamas, les Occidentaux ont découvert avec stupéfaction qu’une part non négligeable de leur jeunesse étudiante – celle-là même qui lutte contre les « micro-agressions » et « la violence symbolique du mégenrage » – irait jusqu’à refuser de condamner des décapitations de nourrissons, retirer des affiches sur les bébés juifs utilisés comme otages, ou encore porter fièrement des autocollants à l'effigie des parachutistes du Hamas.

La grille de lecture « colons dominants contre décolonisateurs dominés » fait que tout ce que feront les seconds pour « résister » face aux premiers se verra justifié. Pour mieux comprendre cette façon de réfléchir, il faut se plonger dans leur logiciel intellectuel. Ce qui compte, c’est l’ennemi et son « système de domination ». C’est cette entité qui permet de faire perdurer l’infâme statu quo. Ceux qui ne le combattent pas en permanence deviennent des « réactionnaires », et ceux qui veulent l’abolir des « révolutionnaires ». Or, chez l’intellectuel allemand Herbert MARCUSE, qui est une de leurs influences premières, la violence « révolutionnaire » n’est pas comparable à la violence « réactionnaire », et afin de lutter contre la société violente, il faudra être violent.

Pierre VALENTIN
Et ce n'est pas fini... 

 

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Respect et devoir de mémoire.

3 Novembre 2023, 10:40am

Publié par Bernardoc

 Voilà Maman, on continue, comme promis.

 Du nouveau dans les cimetières de St Mesmin et St Sulpice : un jardin du souvenir. Dans ce dernier il y avait une tombe Leymarie ; je ne l'ai pas fleurie mais prise en photo (clin d'oeil). A St Mesmin en plus, un ossuaire (pour les concessions qui ont été récupérées par la mairie ?). Il n'y avait plus l'étiquette de récupération sur la mémé Anna, mais notre pot de l'an dernier avait disparu ; alors j'ai planté un arbre.

Et ce n'est pas fini...

Respect et devoir de mémoire.
Respect et devoir de mémoire.
Respect et devoir de mémoire.
Respect et devoir de mémoire.
Respect et devoir de mémoire.
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Respect et devoir de mémoire.
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