Attention, c'est VENDREDI 28.
Venez nombreux !
Et ce n'est pas fini...
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Pour éviter d'avoir à me répéter, notes en vrac d'un retraité, incorrigible militant.
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Justice (encore).
La présidente d'une cour d'assises visée à la tête par un flashball : tentative de meurtre. BRAVO ! On ne peut qu'approuver et apporter tout notre soutien républicain à cette magistrate.
Des dizaines de manifestants pacifiques visés à la tête, éborgnés ou avec la mâchoire fracassée par des tirs de LBD (Lanceurs de Balles de Défense, autre nom pour les flashballs) : « Il n'y a pas de violences policières ».
Citoyen de base, qui ne s'est jamais investi dans le mouvement dit des « gilets jaunes » mais qui utilise régulièrement son bulletin de vote, je vois quand même un semblant de différence entre ces deux traitements judiciaires. C'est sans doute dû à mon manque de formation juridique, et pourtant je continue à m'interroger.
Il a fallu que Carlos GHOSN, grand patron chouchouté par le pouvoir pour que tous ses méfaits soient révélés. Le menteur, les yeux dans les yeux, Cahuzac, si je ne m'abuse, est libre de vaquer à ses obligations avec son bracelet électronique.
Il a 20 ans, il a faim, il vole un sandwich et du jus d'orange : 6 mois de prison ferme. Ca ne vous rappelle rien ? Vous n'avez pas lu Les Misérables du grand Victor HUGO ? Allez-y, c'est au début.
En attendant, nous les vieux, continuons à souffrir en silence et surtout fermons la, il ne faut pas faire de peine à notre jeune et fringant président.
Et ce n'est pas fini...
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Mirepoix.
Ce n'était pas prévu à l'origine, mais comme nous faisions escale dans une chambre d'hôtes à 8 km, nous en avons profité. Ce fut aussi une belle découverte, cette bastide des artisans avec sa place à cornières (comme on dit en Lot-et-Garonne), sa halle centrale entourée de maisons à colombages aux volets multicolores et sa cathédrale St Maurice (qui ne l'est plus depuis 1801).
Instant culturel : le nom des habitants est « mirapiciens », et nous sommes dans le département de l'Ariège.
Nous avons arpenté les rues de cette ville où l'on entendait davantage parler anglais qu'occitan ! D'ailleurs certaines des enseignes ne cachent pas leur origine d'outre-Manche. Que va-t-il se passer après le brexit ? Les biens locaux baisseront peut-être et deviendront-ils alors plus accessibles aux bourses des jeunes Occitans ?
Néanmoins cette bastide, à une vingtaine de kilomètres de Castelsarrazin, dans le département voisin, mérite le détour.
Et ce n'est pas fini...
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Béziers
Au retour de La Grande Motte, nous n'étions pas pressés, puisque nous faisions une étape à la limite de l'Aude et de l'Ariège. Nous commençons par faire une halte à Marseillan Plage. Je suis entré dans l'eau jusqu'aux chevilles mais comme c'était très venteux nous n'avons pu rester sur la plage.
Donc, nous décidons d'aller faire un tour à Béziers, ville dont je ne connaissais que la gare.
Eh bien, Béziers est une belle ville, baignant dans son occitanité. Nous y avons passé deux ou trois heures, le temps de déjeûner dans un très vieux café sur le cours Riquet : La Comédie (bonne adresse). Puis, à la recherche de l'office du tourisme, nous tombons sur la mairie, située juste en face.
De là nous allons vers la cathédrale (fermée à cette heure-là), située sur un promontoire d'où nous dominons la plaine avec les cévennes au fond.
Des surprises artistiques (trompe l'oeil) ou historiques (statue à la gloire de la Révolution inaugurée par Ménard) jalonnent notre parcours.
Cette visite se termine par une promenade dans le jardin appelé «Le Parcours de des Poètes » qui rend hommage aux poètes, la plupart bilingues, originaires de la ville.
Voilà ; nous attendrons les prochaines municipales pour éventuellement y faire un séjour plus long.
Et ce n'est pas fini...
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La Grande Motte.
Je me souviens, adolescent, avoir été étonné, lorsque nous partions en vacances de San Salvadour jusqu'à Las Brunhas de voir s'ériger ces pyramides, avant d'arriver à Montpellier, en bord de mer là où il n'y avait rien. En effet, cette ville est née de l'imagination féconde d'un architecte à qui on avait donné carte blanche : Jean BALLADUR. Inspirée des pyramides précolombiennes mexicaines et des nouvelles constructions brésiliennes, c'est à juste titre que La Grande Motte a reçu les label «Patrimoine du XX° siècle ».
Elle devient commune de plein droit en 1974 et depuis lors a toujours été dirigée par la droite. En quarante ans la population a quadruplé et dépasse maintenant les 9 000 habitants.
Les immeubles, tous différents, ont pour noms La grande Pyramide, Le Temple du soleil, L'Eden,...
Mais qu'est-ce qui nous a amenés à faire escale dans cette ville ? Eh bien le congrès international (moins que le nôtre cependant) de l'AMOPA, car dès le départ un Palais des congrès était construit face au port qui venait d'être creusé.
Nous avons eu le temps de nous promener le long du port, de tester plusieurs restaurants (mention spéciale pour La brasserie de la mer) et de profiter du beau temps en ce week-end de fête des mères et d'élection européenne.
Et ce n'est pas fini...
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Mon petit cousin bientôt honoré.
Pour ceux qui ont certaines références, c'était le petit frère d'Abdel (de Plus belle la vie).
https://www.youtube.com/watch?v=k-buNTERsms
Quand les conseils de quartier peuvent faire des propositions et les voir aboutir : un bel acte de confiance de la part de la municipalité.
Et ce n'est pas fini...
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C'est demain !
Et ce n'est pas fini...
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Et voilà, c'est terminé !
Vous trouvez qu'on a l'air malheureux ? Pourtant, je pense que chacun d'entre nous était content de retrouver ses pénates.
Une longue attente prévue à Paris, et contrairement à l'aller, nous avons été à nouveau contrôlés par les sbires des sociétés privées (pourtant il me semble que ce contrôle devrait faire partie des fonctions régaliennes de l'Etat et par conséquent être effectué par des fonctionnaires), et ce qui devait arriver arriva : le délit de sale gueule fut pour moi.Je commençais à m'étonner : trois passages impeccables et ça coince au quatrième.
J'ai quand même eu droit à un sourire de la part de la Roumaine qui m'a contrôlé à Paris (l'Europe en marche ! ).
Tout le monde a récupéré ses bagages à Bordeaux et dès le lendemain la vie reprenait son train-train quotidien.
Merci au CLAD pour ces belles découvertes !
Et ce n'est pas fini...
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Le musée du Village Dimitrie-Gusti.
Fondé en 1936 par un sociologue roumain, il fut un précurseur parmi les écomusées. Le premier de la sorte, je l'ai découvert dans les années '70 à St Ffagans, près de Cardiff au Pays de Galles, et nous avons eu l'occasion d'en voir d'autres en Scandinavie.
Celui-ci s'étend sur 14 hectares, mais nous n'en avons arpenté qu'une toute petite partie en tant que promenade apéritive, mais aussi, sans aucun doute, pour nous inciter à revenir et à aller voir ces constructions typiques sur place !
Il y a environ 300 bâtiments divers, fermes et leurs dépendances, moulins à vent ou à aubes, puits, églises,...qui ont été transportés de toutes les régions du pays et reconstruits piere à pierre sur ce site adjacent au Parc Herăstrău.
Moins d'une journée à Bucarest, c'est dommage car je suis sûr que nous avons manqué de nombreuses merveilles de ce « Paris des Balkans ».
Et ce n'est pas fini...
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Bucarest.
Nous ne ferons pas comme Michael JACKSON qui au début des années '90 s'est exclamé : « Je suis fier d'être ici, à Budapest ». C'était notre dernière étape : courte visite à pied, dépense de nos derniers lei dans une boutique de souvenirs - bienvenue car un orage venait d'éclater, dîner dans une ancienne église devenue « Palais de la bière », puis hébergement dans un hôtel Rin (mais pas le même qu'à l'arrivée).
Déception pour ce qui concernait le spectacle folklorique promis : un accordéoniste, un pianiste et un violoneux qui interprétaient des mélodies bien connues en France.
Le lendemain matin, sous un beau soleil, visite en car de la ville avec la remontée de l'avenue de l'Union et ses fontaines centrales dédiées à chaque région (bulvardul Unirii), après avoir été l'avenue de la Victoire du Socialisme ; pour preuve, Ceaucescu avait envoyé ses arpenteurs sur les Champs Elysées, et l'avenue fait un mètre de plus en largeur !
Et bien sûr, arrêt obligatoire au pied du palais du Parlement (anciennement palais du Peuple), le plus gros bâtiment du monde après le Pentagone.
Et ce n'est pas fini...
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