Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de Bernard SARLANDIE

Vallée de l'Ourika.

3 Mai 2018, 22:44pm

Publié par Bernardoc

La troisième vallée : retour vers Marrakech.

Après le déjeuner dans un endroit « typique », c'est à dire non réservé aux touristes mais abondamment fréquenté par les Marrakchi venus prendre un peu de fraîcheur dans la vallée (une dizaine de degrés de moins qu'en ville), nous faisons un tour dans le village puis après quelques kilomètres une première halte dans un atelier (qui s'intitule coopérative de femmes) dans lequel on nous explique le traitement de l'argan et sa transformation en une multitude de produits bio. Devant il y avait toute une grappe de jeunes filles en uniforme de travail, certaines ayant un voile sur la tête, d'autres tête nue. C'était une image de ce que nous avons pu remarquer au Maroc, et nous en avons déduit qu'il s'agissait vraiment d'un choix volontaire. Nous n'avons pas acheté d'huile (pas de bagage en soute!) mais deux bricoles.

Dernière halte avant Marrakech : la kasbah Tifirt, musée d'art et poterie. Nous commençons par le « musée » : la salle des tapis. Devant notre réponse négative quant à un possible achat, une autre salle du « musée » est éclairée : de magnifiques objets décorés, juifs ou berbères, et notamment de vieux modèles de moulins à café plaqués de dentelles d'argent ou incrustés de nacre. Il restait une salle à visiter, mais comme j'avais refusé de proposer un prix pour un quelconque des objets, le patron nous a invités à sortir.

Juste à côté, une immense poterie, avec un artisan (un artiste ? ) qui a pris du temps pour nous expliquer son art, faire participer la jeune fille qui nous accompagnait, et surtout, ce que nous avons apprécié, aucune pression pour un quelconque achat ! De très belles pièces qui attendront un prochain acheteur, probablement un restaurateur ou un hôtelier locaux.

Une très belle journée finalement. A faire !

Et ce n'est pas fini...

Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.
Vallée de l'Ourika.

Voir les commentaires

Le moulin.

3 Mai 2018, 07:07am

Publié par Bernardoc

Arrêt dans un petit moulin familial, dans la vallée de l'Ourika, entre Aghbalou et Oulmès (lieu de captage d'une eau minérale).

Il s'agit d'un moulin actionné par l'eau de la rivière où les paysans alentour viennent faire moudre leur grain et paient en nature, en laissant une partie de la farine. Ça me rappelle ce qu'il se passait dans le temps à la campagne où le boulanger faisait une encoche sur une barre de bois symbolisant un sac de blé qui donnait droit à tant de pains.

Ce moulin est adjacent à la maison que l'on nous fait visiter avec force explications et détails. On veut bien y croire, même si l'on nous a dit qu'il faudrait mettre une obole de 10 dh dans une boîte en sortant...vers un magasin d'artisanat qui ouvre aussi dans la cour. De belles choses, mais nous avons pu y résister (pour une fois !).

C'était quand même sympa, mais il commençait à faire faim. Nous repartons donc en continuant de nous enfoncer vers le fond de la vallée, jusqu'à Setti-Fatma, où nous allons déjeuner en bord de rivière. Ce n'est pas trop original car toute la rivière a été aménagée et est bordée de guinguettes qui permettent de déjeuner les pieds dans l'eau si on le souhaite. Et ce n'est pas une image !

Et ce n'est pas fini...

Le moulin.
Le moulin.
Le moulin.
Le moulin.
Le moulin.
Le moulin.
Le moulin.
Le moulin.
Le moulin.
Le moulin.
Le moulin.
Le moulin.
Le moulin.
Le moulin.

Voir les commentaires

Les trois vallées.

2 Mai 2018, 09:27am

Publié par Bernardoc

C'était une excursion d'une journée, mais je vais en parler en plusieurs fois.

Nous partons donc (à l'heure ! ) vers le sud, en direction du Haut Atlas. C'est là que nous découvrons pourquoi Marrakech est une ville si verdoyante : les montagnes arrêtent les nuages et l'eau va rejoindre et irriguer la ville.

Nous découvrons le tourisme à la marocaine : peu de grands cars, mais des minibus ou des 4x4, ce qui donne une tout autre dimension et beaucoup plus de souplesse et de liberté. Nous étions cinq dans le minibus de Mustapha, qui connaît fort bien son pays et le français (en plus du berbère, sa langue maternelle, et de l'arabe).

Premier stop près d'un sculpteur sur fer (nous avons vu beaucoup le long des routes que nous avons empruntées), mais le but était d'acheter de l'eau minérale pour la journée. Puis nous nous élevons jusqu'à Lalla-Takerkoust, avec le premier arrêt photos et quelques explications touristico-économiques concernant ce lieu.

De là, nous obliquons vers l'est et traversons un verdoyant plateau vallonné et très vert (les blés sont déjà bien avancés, et la moindre parcelle est utilisée) en direction d'Asni. Pays d'oliviers donc chaque arbre est consolidé par une mini terrasse qui retient la terre. Le climat commence à changer (bien indiqué dans Le guide du routard, et nous nous couvrons au fur et à mesure de notre ascension. Arrêt auprès d'un oued pour déguster un thé à la menthe et nous réchauffer grâce à de petits foyers généreusement apporter par le patron du café.

Une déception au cours de ce début d'excursion : trop de brume qui nous empêche de voir les montagnes et certains villages typiques accrochés au flanc de la montagne et uniquement repérables grâce à leur minaret.

Nous redescendons vers la vallée de l'Ourika en laissant la station de ski d'Oukaïmeden sur la droite.

Et ce n'est pas fini...

 

Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.
Les trois vallées.

Voir les commentaires

1er mai 2018.

1 Mai 2018, 16:38pm

Publié par Bernardoc

Manifestation matinale (9h30), mais horaire calculé en fonction du déjeuner à la Bourse du Travail. Nous nous étions bien couverts (il faisait moins de 10° quand nous avons quitté la maison), y compris avec les imperméables car il bruinait, mais nous n'en avons pas eu besoin et nous avons même pu déjeuner à l'extérieur sous le soleil.

Première surprise : l'Unsa était présente ; je ne sais si la Cfdt était au cinéma, mais je n'ai même pas vu de militants isolés ; peut-être dans un cortège unitaire de cheminots ? Mais nous ne les avons pas vus, car contrairement à notre habitude nous avons défilé en queue de manifestation, puisque nous avions notre banderole espéranto. Nous étions tantôt devant, tantôt derrière la France Insoumise, et même on a pu croire un moment que le député d'icelle défilait derrière nous.

Manif bon enfant dans laquelle nous avons été moult fois photographiés et nous avons surpris ceux qui étaient autour de nous en entonnant plusieurs fois le refrain de L'Internationale en espéranto. Mais comme nous maîtrisons également la langue de la République, nous avons chanté deux fois Le drapeau rouge, chant moins connu maintenant que Le chiffon rouge, mais tellement plus fort selon moi et préférable pour le militant de l'IHS que je suis.

Désunion syndicale donc, hélas ! Macron n'est pas parti à Baden Baden mais en Australie. Il en profite et il a bien raison car, je souhaite me tromper, la convergence des luttes mettra au moins quatre ans pour se réaliser...et encore !

La France ne s'ennuie plus comme il y a 50 ans, elle est anesthésiée ; mais combien de temps allons-nous laisser les 1% nous détrousser sans réagir ?

Et ce n'est pas fini...

 

1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.
1er mai 2018.

Voir les commentaires

<< < 1 2 3